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    Peut-être ai-je été trop naïve

    À croire que tu m’aimais

    Peut-être trop émotive et le cœur en dérive

    voilà ce qu’il arrive quand tu me disais…

     

     

    vis ta vie et moi la mienne

    Prends ce qui vient quoi qu’il advienne

    laisse le présent faire son temps

    en cet instant aimons-nous sur le moment

     

     

    Je me suis perdue dans un rêve

    et t’ait trouvé sur mon chemin

    Me suis noyée dans tes beaux yeux

    pour teindre mes journées en bleu

     

     

    Le soleil resplendissait dans le ciel

    et garnissait les champs d’un jaune miel

    J’espérais être celle qui te ferait oublier tes peines

    juste un instant en t’embrassant

     

     

    pas de promesses juste des caresses

    et profiter d’être juste amant

    une aventure sans rature aussi belle que la nature

    j’aurais voulu que cela dure, et tu m’as dit avec certitude

     

     

    vis ta vie et moi la mienne

    Prends ce qui vient quoi qu’il advienne

    laisse le présent faire son temps

    en cet instant aimons-nous sur le moment

     

     

    Doucement les années se sont écoulées sans jamais cesser de t’aimer

    chaque jour, j’attendais ton appel ,ô toi mon bel amour

    sur l’ordinateur je me connectais avec impatience

    sur Messagerie virtuelle tu apparaissais et on se parlait

     

     

    Je laissais planer mes doutes alors que sans aucun doute

    si tu ne m’avais pas aimé jamais on se serait rencontré

    y avait aucun ombrage, même pas la différence d’âge

    la seule ombre qui me faisait pleurer c’est d’être séparé en attendant l’été

     

     

    Peut-être ai-je été trop naïve

    À croire que tu m’aimais

    Peut-être trop émotive et le cœur en dérive

    voilà ce qu’il arrive quand tu me disais…

     

     

    vis ta vie et moi la mienne

    Prends ce qui vient quoi qu’il advienne

    laisse le présent faire son temps

    en cet instant aimons-nous sur le moment...

     

     

    Oui aimons-nous sur le moment

     

    ©Christiane

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    Ce fut une nuit où tu m’avais dit

    j’ai envie de toi, déshabille-toi

    j’ai préféré que tu le fasses avec plus d’audace

    avec tendresse comme une douce caresse

     

     

    Je me souviens sous cette nuit étoilée

    où tu m’as aimé et tant désiré

    Je me souviens de ce jour radieux

    ou nos corps se fiancent et dansent

     

     

    Une mélodie d’ambiance

    qui nous a mis en transe

    me donnant confiance

    et encore ce soir j’y pense et souvent j’y re pense

     

     

    Que ce désir charnel pour toi je sois la plus belle

    que notre aventure soit-elle unique et magique

    si tu étais seulement là tout près de moi

    mes rêves ne se perdraient pas dans l’univers

     

     

    Tous les soirs je t’attendais et tu ne venais pas

    toute seule dans ma chambre et toi tu étais là-bas

    sous mon déshabillé de satin je ressentais tes mains

    c’était juste une illusion du feu de la passion

     

     

    Si seulement tu m’entendais, si tu me voyais

    que ferais-tu de mon amour, le prendrais-tu en retour

    referais-tu les mêmes gestes, me dirais-tu les mêmes mots

    Et ce soir je suis seule, et je parle comme si tu étais là

     

     

    Une feuille et une plume devant moi

    des mots qui s’adressent à toi

    des envies à ne plus en finir

    qui m’enflamment comme si je serais ta femme

     

     

    L’amour a un cœur et une âme

    et les yeux mi-clos j’entrevois à chaque fois ton visage

    et ton corps qui se penche sur moi et me touche

    et ta bouche qui se mêle à la mienne

     

     

    Le temps n’effacera pas mon amour

    mais tu n’es pas là ,moi ici et toi là-bas

    Tu fais partie de mes souvenirs

    l’espoir serait un jour à te revoir

     

     

    Je me souviens de nous deux

    de notre love story

    aujourd’hui je m’ennuie et malgré tout je souris

    je vis ou survie, et me plonge dans la poésie

     

     

    Aimer sans jamais t’oublier

    te désirer à toujours te caresser

    t’imaginer avec passion

    t’aimer et te sentir au moindre de mes soupirs

     

    ©Christiane

     

     

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    Quelque part dans le sud de la France

    où les gens aiment partir en vacances

    les entends-tu chanter les cigales

    au milieu des champs de lavandes qui aromatise la garrigue

     

     

    Et ce petit village de Provence

    sur la place les enfants dansent et les vieux sirotent le pastis

    écoute cet accent harmonieux en ces lieux délicieux

    et la criée du marchand d’agrumes qui est si familier qui nous vendrait même son tablier

     

     

    Le soleil illumine et réchauffe les terres de Saint-Paul de Vence

    Près de la fontaine à l’ombre sous les arbres quelques joueurs de pétanque

    au langage à la Fernandel, avec l’expression «alors tu pointes ou tu tires»

    Je resterais des heures à les regarder afin de savoir qui embrassera Fanny

     

     

    Et chaque matin au lever du soleil

    Je respire une bonne bouffée d’air et sourit

    à la fenêtre de mon mas, je me prélasse

    Les yeux levés au ciel azur pendant ce vifazur

     

     

    Aujourd’hui peut-être ou peut-être demain

    j’irai au bord de la mer pêcher le requin ou ramasser des oursins

    A moins que la chaleur ne me fasse faire la sieste

    Pour moi pas de complexe je vis ici et j’y reste

     

     

    Ah sacré Pagnol , tu m’en as fait lire de tes œuvres

    De Manon des sources à Jean de Florette

    Tu m’as bien inspiré de tes amours secrètes

    dans lesquelles je me reflète en faisant des pirouettes

     

     

    Il est vrai que l’amour cela nous tombe dessus

    On ne s’y attend pas et on franchit le pas

    Sur un lit , sur la plage ou encore sur un ballot de foin

    la providence elle est là et on aime ça

     

     

    Oh ! Ma Provence je ne suis pas de ton pays

    mais c’est tout comme , j’emploie aujourd’hui tes expressions du pays

    j’aurais aimé encore à en apprendre entre le «peuchère» et me promener sur la Cannebière

    et j’entends encore cette réplique :

    Ô Marius, arrête un peu de faire le cacou !

     

     

    Mes vacances maintenant c’est ma retraite

    à l’ombre d’un olivier avec en guise un pastis en apéro

    l’anis liquide et bien mieux que les sucettes d’Annie

    Pour finir mes vieux jours dans ce paradis

     

    ©Christiane

     

     

     

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    Douce vie avec toi dans tes bras

    j’ai retrouvé le paradis perdu de ce que j’avais vécu

    autrefois dans l’immensité du crépuscule

    dans ce lit tu me souris et l’on s’aime je ne suis plus la même

     

     

    Je me traîne sur tes caresses suprêmes

    nos corps s’enchaînent méritent mes quelques vers

    un paradis de délices, un baiser sur mes lèvres

    mon âme en délire s’enivre de tous ces plaisirs

     

     

    Ma main posée sur le duvet de ta poitrine

    toi mon homme et mes seins te frôle

    En ton cœur j’ai trouvé le bonheur

    Et je construis ma vie de ce que seront ces souvenirs

     

     

    Et toutes ces chansons d’amour qui parlent de nous

    sont les paroles que je t’ai dites

    sur tes mots qui me désarme

    j’ai craqué sur tes yeux et ton charme

     

     

    Chéri ton prénom finit par…

    Un sentiment qui m’envahit jour et nuit

    où un je t’aime s’épanouit dans mes soupirs

    Rejoins-moi dans mes fantasmes pour que mes envies se calment

     

     

    Tu sais si bien ce qui m’enflamme

    quand nos désirs apaisent nos âmes

    Que tes Câlins faits au petit matin

    Tu sais que je les aimais bien

     

     

    Douce vie auprès de toi

    J’entends ton cœur qui résonne

    l’étendue de nos envies

    Ô chéri viens en moi, mon grain de folie

     

     

    Laissons la vibration des guitares

    faire de nos élans une belle mélodie

    de cette passion remplir nos corps de cette belle sensation

    refais-moi l’amour tous les jours et fait jaillir en moi ton plaisir

     

     

    Ce matin ma plume poétise

    mes envies qui me grisent

    pour que ce soir tu ouvres la porte

    et laisse libre à tes mains qui me déshabillent

     

    ©Christiane

     

     

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    Merveilleux sentiment qui me trouble

    j’ai trouvé en toi mon double

    Où allons-nous… Et pour combien de temps?

    Nulle ne peut le dire, vivons donc le présent

     

     

    Unir nos deux cœurs en unique pensée

    et s’aimer sans aucune retenue

    marcher avec toi main dans la main

    et s’embrasser à la croisée de notre chemin

     

     

    J’accroche les ailes de l’amour à mon espérance

    Laisse mes rimes s’envoler par la brise du vent

    Et mes écrits se déposer comme un tapis de braise

    Quand nos deux plumes se mêlent au fil du temps

     

     

    Quand l’obscur étale son manteau

    que nos corps à corps se disent en accord

    que nos gestes remplis de tendresse

    rien n’est plus belle quand la danse devient intense

     

     

    Et l’aube ouvre ses paupières sur un merveilleux paysage

    Et tes mains auscultent les parcelles intimes de tes désirs

    et complice je me laisse aller à des soupirs

    je m’abandonne encore et encore à ses sensations recherchées

     

     

    À notre âme pure s’incruste nos mots les plus doux

    où fleurissent les promesses à s’aimer à en mourir

    Une saveur que je n’ai connue auparavant

    et que je savoure en ces doux moments

     

     

    Et je me fonds dans tes yeux amoureux

    et ton beau sourire qui se dessine sur tes lèvres

    je t’aime amour de tout mon être

    Merci chéri de m’avoir fait renaître

     

    ©Christiane

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    Voilà voilà la contestataire c’est moi

    qui se révolte sur la société et les injustices

    contre ces renards de la finance qui pensent qu’à leur panse

    je crie, je hurle, lève le poing contre ces rapaces, je leur fais face

     

     

    J’ai mal de voir toutes ces souffrances au cœur des pays

    de la misère, aux maladies hantent leurs vies

    Et j’ai haine à ceux d’en haut qui manipulent tous ces euros

    ils n’en auront pas un de trop pour les mendigots

     

     

    Oui je me révolte contre ces vipères 

    qui nous montre du doigt j’en ai rien à faire

    on peut être contestataire c’est légitime contre un régime

    qui abuse de nous, nous font travailler comme des fous pour peu de sous

     

     

    J’en ai marre de voir ces guerres sur toute la terre

    tuer des gens et des enfants et tous ces militaires

    J’ veux leur envoyer de l’amour et rien que cela

    pour leur donner la force et les nourrir à la place

     

     

    Voilà, voilà la contestataire c’est moi

    qui se révolte sur la société et les injustices

    contre ces renards de la finance qui pensent qu’à leur panse

    je crie, je hurle, lève le poing contre ces rapaces, je leur fais face

     

     

    Et je vomis sur les sociétés qui nous polluent

    qui détruisent tout pour amasser la part d’un marché ,pour plus gagner

    qui jouent avec nos vies, notre santé et nous font crever

    par ces additifs et dérivés, nous on a rien à y gagner que de se résigner à tout gober

     

     

    On est juste des pions que l’on place et déplace

    on nous numérote ,pour nos noms et prénoms y a pas de place

    on marche où l’on tombe, ils ne viendront pas sur nos tombes

    pas de décorations pour les zéros, cela me fait froid dans le dos

     

     

    Oui je m’exprime, car la colère et la déprime, je fais un signe

    À tous ceux qui n’ont rien à dire ou baisse les bras

    je ferais bien pareil dans mon état

    Mais je crie bien fort voilà, voilà, moi la contestataire je suis là

     

     

    Malgré tout cela, je vis ou survis

    avec tous ces abrutis qui n’ont rien compris

    que de crier ou encore de prier rien ne suffit

    Pour faire changer le monde, comptons les heures, les secondes

    avant que l’on ne sombre et  tombe

     

     

    Voilà, voilà, on ne sait ce qu’en adviendra du climat

    si on ne trouve pas un remède à tout cela

    des pollueurs, profiteurs, et surtout aux financiers de cette société

    Qui nous ont fait souvent miroités des solutions, mais il faut toujours payer

     

     

    On a déjà tellement déboursé pour des vaccins

    que les virus sont toujours là que des gens meurent

    pour les cobayes que nous sommes

    Une pilule par ci, un vaccin par là, cruauté pour ceux qui ne déboursent pas

     

     

    Je m’arrête là, voilà, voilà

    Ne plus dire quoique ce soit voilà, voilà

    libère-toi si cela ne va pas

    écrit, chante, car la vie est un long combat, voilà

     

    ©Christiane

     

     

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