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Par cricriangel le 29 Mai 2021 à 17:29
Peut-être ai-je été trop naïve
À croire que tu m’aimais
Peut-être trop émotive et le cœur en dérive
voilà ce qu’il arrive quand tu me disais…
vis ta vie et moi la mienne
Prends ce qui vient quoi qu’il advienne
laisse le présent faire son temps
en cet instant aimons-nous sur le moment
Je me suis perdue dans un rêve
et t’ait trouvé sur mon chemin
Me suis noyée dans tes beaux yeux
pour teindre mes journées en bleu
Le soleil resplendissait dans le ciel
et garnissait les champs d’un jaune miel
J’espérais être celle qui te ferait oublier tes peines
juste un instant en t’embrassant
pas de promesses juste des caresses
et profiter d’être juste amant
une aventure sans rature aussi belle que la nature
j’aurais voulu que cela dure, et tu m’as dit avec certitude
vis ta vie et moi la mienne
Prends ce qui vient quoi qu’il advienne
laisse le présent faire son temps
en cet instant aimons-nous sur le moment
Doucement les années se sont écoulées sans jamais cesser de t’aimer
chaque jour, j’attendais ton appel ,ô toi mon bel amour
sur l’ordinateur je me connectais avec impatience
sur Messagerie virtuelle tu apparaissais et on se parlait
Je laissais planer mes doutes alors que sans aucun doute
si tu ne m’avais pas aimé jamais on se serait rencontré
y avait aucun ombrage, même pas la différence d’âge
la seule ombre qui me faisait pleurer c’est d’être séparé en attendant l’été
Peut-être ai-je été trop naïve
À croire que tu m’aimais
Peut-être trop émotive et le cœur en dérive
voilà ce qu’il arrive quand tu me disais…
vis ta vie et moi la mienne
Prends ce qui vient quoi qu’il advienne
laisse le présent faire son temps
en cet instant aimons-nous sur le moment...
Oui aimons-nous sur le moment
©Christiane
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Par cricriangel le 29 Mai 2021 à 07:55
Ce fut une nuit où tu m’avais dit
j’ai envie de toi, déshabille-toi
j’ai préféré que tu le fasses avec plus d’audace
avec tendresse comme une douce caresse
Je me souviens sous cette nuit étoilée
où tu m’as aimé et tant désiré
Je me souviens de ce jour radieux
ou nos corps se fiancent et dansent
Une mélodie d’ambiance
qui nous a mis en transe
me donnant confiance
et encore ce soir j’y pense et souvent j’y re pense
Que ce désir charnel pour toi je sois la plus belle
que notre aventure soit-elle unique et magique
si tu étais seulement là tout près de moi
mes rêves ne se perdraient pas dans l’univers
Tous les soirs je t’attendais et tu ne venais pas
toute seule dans ma chambre et toi tu étais là-bas
sous mon déshabillé de satin je ressentais tes mains
c’était juste une illusion du feu de la passion
Si seulement tu m’entendais, si tu me voyais
que ferais-tu de mon amour, le prendrais-tu en retour
referais-tu les mêmes gestes, me dirais-tu les mêmes mots
Et ce soir je suis seule, et je parle comme si tu étais là
Une feuille et une plume devant moi
des mots qui s’adressent à toi
des envies à ne plus en finir
qui m’enflamment comme si je serais ta femme
L’amour a un cœur et une âme
et les yeux mi-clos j’entrevois à chaque fois ton visage
et ton corps qui se penche sur moi et me touche
et ta bouche qui se mêle à la mienne
Le temps n’effacera pas mon amour
mais tu n’es pas là ,moi ici et toi là-bas
Tu fais partie de mes souvenirs
l’espoir serait un jour à te revoir
Je me souviens de nous deux
de notre love story
aujourd’hui je m’ennuie et malgré tout je souris
je vis ou survie, et me plonge dans la poésie
Aimer sans jamais t’oublier
te désirer à toujours te caresser
t’imaginer avec passion
t’aimer et te sentir au moindre de mes soupirs
©Christiane
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Par cricriangel le 26 Mai 2021 à 16:15
Quelque part dans le sud de la France
où les gens aiment partir en vacances
les entends-tu chanter les cigales
au milieu des champs de lavandes qui aromatise la garrigue
Et ce petit village de Provence
sur la place les enfants dansent et les vieux sirotent le pastis
écoute cet accent harmonieux en ces lieux délicieux
et la criée du marchand d’agrumes qui est si familier qui nous vendrait même son tablier
Le soleil illumine et réchauffe les terres de Saint-Paul de Vence
Près de la fontaine à l’ombre sous les arbres quelques joueurs de pétanque
au langage à la Fernandel, avec l’expression «alors tu pointes ou tu tires»
Je resterais des heures à les regarder afin de savoir qui embrassera Fanny
Et chaque matin au lever du soleil
Je respire une bonne bouffée d’air et sourit
à la fenêtre de mon mas, je me prélasse
Les yeux levés au ciel azur pendant ce vifazur
Aujourd’hui peut-être ou peut-être demain
j’irai au bord de la mer pêcher le requin ou ramasser des oursins
A moins que la chaleur ne me fasse faire la sieste
Pour moi pas de complexe je vis ici et j’y reste
Ah sacré Pagnol , tu m’en as fait lire de tes œuvres
De Manon des sources à Jean de Florette
Tu m’as bien inspiré de tes amours secrètes
dans lesquelles je me reflète en faisant des pirouettes
Il est vrai que l’amour cela nous tombe dessus
On ne s’y attend pas et on franchit le pas
Sur un lit , sur la plage ou encore sur un ballot de foin
la providence elle est là et on aime ça
Oh ! Ma Provence je ne suis pas de ton pays
mais c’est tout comme , j’emploie aujourd’hui tes expressions du pays
j’aurais aimé encore à en apprendre entre le «peuchère» et me promener sur la Cannebière
et j’entends encore cette réplique :
Ô Marius, arrête un peu de faire le cacou !
Mes vacances maintenant c’est ma retraite
à l’ombre d’un olivier avec en guise un pastis en apéro
l’anis liquide et bien mieux que les sucettes d’Annie
Pour finir mes vieux jours dans ce paradis
©Christiane
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Par cricriangel le 25 Mai 2021 à 10:50
Douce vie avec toi dans tes bras
j’ai retrouvé le paradis perdu de ce que j’avais vécu
autrefois dans l’immensité du crépuscule
dans ce lit tu me souris et l’on s’aime je ne suis plus la même
Je me traîne sur tes caresses suprêmes
nos corps s’enchaînent méritent mes quelques vers
un paradis de délices, un baiser sur mes lèvres
mon âme en délire s’enivre de tous ces plaisirs
Ma main posée sur le duvet de ta poitrine
toi mon homme et mes seins te frôle
En ton cœur j’ai trouvé le bonheur
Et je construis ma vie de ce que seront ces souvenirs
Et toutes ces chansons d’amour qui parlent de nous
sont les paroles que je t’ai dites
sur tes mots qui me désarme
j’ai craqué sur tes yeux et ton charme
Chéri ton prénom finit par…
Un sentiment qui m’envahit jour et nuit
où un je t’aime s’épanouit dans mes soupirs
Rejoins-moi dans mes fantasmes pour que mes envies se calment
Tu sais si bien ce qui m’enflamme
quand nos désirs apaisent nos âmes
Que tes Câlins faits au petit matin
Tu sais que je les aimais bien
Douce vie auprès de toi
J’entends ton cœur qui résonne
l’étendue de nos envies
Ô chéri viens en moi, mon grain de folie
Laissons la vibration des guitares
faire de nos élans une belle mélodie
de cette passion remplir nos corps de cette belle sensation
refais-moi l’amour tous les jours et fait jaillir en moi ton plaisir
Ce matin ma plume poétise
mes envies qui me grisent
pour que ce soir tu ouvres la porte
et laisse libre à tes mains qui me déshabillent
©Christiane
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Par cricriangel le 24 Mai 2021 à 10:13
Merveilleux sentiment qui me trouble
j’ai trouvé en toi mon double
Où allons-nous… Et pour combien de temps?
Nulle ne peut le dire, vivons donc le présent
Unir nos deux cœurs en unique pensée
et s’aimer sans aucune retenue
marcher avec toi main dans la main
et s’embrasser à la croisée de notre chemin
J’accroche les ailes de l’amour à mon espérance
Laisse mes rimes s’envoler par la brise du vent
Et mes écrits se déposer comme un tapis de braise
Quand nos deux plumes se mêlent au fil du temps
Quand l’obscur étale son manteau
que nos corps à corps se disent en accord
que nos gestes remplis de tendresse
rien n’est plus belle quand la danse devient intense
Et l’aube ouvre ses paupières sur un merveilleux paysage
Et tes mains auscultent les parcelles intimes de tes désirs
et complice je me laisse aller à des soupirs
je m’abandonne encore et encore à ses sensations recherchées
À notre âme pure s’incruste nos mots les plus doux
où fleurissent les promesses à s’aimer à en mourir
Une saveur que je n’ai connue auparavant
et que je savoure en ces doux moments
Et je me fonds dans tes yeux amoureux
et ton beau sourire qui se dessine sur tes lèvres
je t’aime amour de tout mon être
Merci chéri de m’avoir fait renaître
©Christiane
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Par cricriangel le 23 Mai 2021 à 12:38
Voilà voilà la contestataire c’est moi
qui se révolte sur la société et les injustices
contre ces renards de la finance qui pensent qu’à leur panse
je crie, je hurle, lève le poing contre ces rapaces, je leur fais face
J’ai mal de voir toutes ces souffrances au cœur des pays
de la misère, aux maladies hantent leurs vies
Et j’ai haine à ceux d’en haut qui manipulent tous ces euros
ils n’en auront pas un de trop pour les mendigots
Oui je me révolte contre ces vipères
qui nous montre du doigt j’en ai rien à faire
on peut être contestataire c’est légitime contre un régime
qui abuse de nous, nous font travailler comme des fous pour peu de sous
J’en ai marre de voir ces guerres sur toute la terre
tuer des gens et des enfants et tous ces militaires
J’ veux leur envoyer de l’amour et rien que cela
pour leur donner la force et les nourrir à la place
Voilà, voilà la contestataire c’est moi
qui se révolte sur la société et les injustices
contre ces renards de la finance qui pensent qu’à leur panse
je crie, je hurle, lève le poing contre ces rapaces, je leur fais face
Et je vomis sur les sociétés qui nous polluent
qui détruisent tout pour amasser la part d’un marché ,pour plus gagner
qui jouent avec nos vies, notre santé et nous font crever
par ces additifs et dérivés, nous on a rien à y gagner que de se résigner à tout gober
On est juste des pions que l’on place et déplace
on nous numérote ,pour nos noms et prénoms y a pas de place
on marche où l’on tombe, ils ne viendront pas sur nos tombes
pas de décorations pour les zéros, cela me fait froid dans le dos
Oui je m’exprime, car la colère et la déprime, je fais un signe
À tous ceux qui n’ont rien à dire ou baisse les bras
je ferais bien pareil dans mon état
Mais je crie bien fort voilà, voilà, moi la contestataire je suis là
Malgré tout cela, je vis ou survis
avec tous ces abrutis qui n’ont rien compris
que de crier ou encore de prier rien ne suffit
Pour faire changer le monde, comptons les heures, les secondes
avant que l’on ne sombre et tombe
Voilà, voilà, on ne sait ce qu’en adviendra du climat
si on ne trouve pas un remède à tout cela
des pollueurs, profiteurs, et surtout aux financiers de cette société
Qui nous ont fait souvent miroités des solutions, mais il faut toujours payer
On a déjà tellement déboursé pour des vaccins
que les virus sont toujours là que des gens meurent
pour les cobayes que nous sommes
Une pilule par ci, un vaccin par là, cruauté pour ceux qui ne déboursent pas
Je m’arrête là, voilà, voilà
Ne plus dire quoique ce soit voilà, voilà
libère-toi si cela ne va pas
écrit, chante, car la vie est un long combat, voilà
©Christiane
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