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    Aujourd'hui, j'ai voulu vous mettre des couleurs en guise de bonjour.

    Une palette multicolore et diversicolore à chacun (e) s

    Un mélange de bonheur, de bonne humeur, de sourire

    Du soleil et des fleurs pour embellir votre cœur

    Des papillons virevoltants et des rêves pleins la tête

     

     

    En coup de pinceaux dessinant votre journée

    Effaçant la noirceur de vos pensées

    Laissant après la pluie, les couleurs de l'arc-en-ciel

    Un tableau nuancé dessiné positivement d'une renaissance

     

     

    Il est facile de coloriser ce que l'on aime.

    Apportant du bleu, du jaune, du vert

    Et les tendances pastel d'une vie plus belle

    En fermant les yeux sur les noirceurs de nos blessures

     

     

    Tel un artiste, j'apporte de la vie et de l'insouciance.

    Du rêve et de la bienfaisance

    Une mélodie peinte de chaleurs et de douceurs

    Une œuvre à suspendre en permanence

     

     

    Couleur flamboyante et réchauffant

    Arrêtant le froid de l'hiver

    Redonnant l'ampleur d'une âme en vacances

    Ou encore le temps d'une danse enivrante

     

     

    Quel que soit le style de vos coups de crayon

    Qu'ils soient à l'ancienne ou moderne

    Imbiber votre paysage de traits à votre image

    Laissons la nature faire les choses, c'est la meilleure dose d'une vie morose.

     

    ©Christiane

     

     

     

     

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    Il est trop dur de vivre sans vous.

    Toi maman, toi papa et toi Roger

    Tous ses souvenirs vécus avec vous

    Je voudrais revenir en arrière.

    Qu’il n’y ait aucune barrière

    Que le ciel s’ouvre à moi

     

     

    Souvent dans mes heures sombres

    Mes yeux coulent comme une rivière.

    Et Dieu qui entend mes prières

    Ne sait plus que faire pour atténuer ma peine

     

     

    Il est trop dur de vivre sans vous.

    Toi mon ami Jacky, toi mon amie Dominique

    Vous qui avez partagé mes joies et mes rires

    Vous qui m’avez aimé comme je vous ai aimé

    Je vois encore votre visage à travers les nuages.

     

     

    Et souvent dans mes heures sombres

    Mes yeux, encore, cherche un signe.

    Je voudrais un ciel azur pour partir en voyage.

    Je ne prendrais aucun bagage.

     

     

    Et maintenant que mon cœur bat au ralenti

    Il serait peut-être temps de voir le paradis.

    Dans ce grand jardin de fleurs pour m’y promener

    Au fait, ne faudrait-il pas arrêter les aiguilles de l’horloge

    Je ne sais pas si j’ai tort ou raison.

     

     

    Il est trop dur de vivre ici-bas.

    Je serais bien mieux près d’eux là-bas.

    Veiller de là-haut sur le peu qui me reste

    Mon enfant n’oublie jamais que je t’aime.

     

     

    Il est trop dur de vivre sur une planète.

    Qui sèment la terreur et la haine ?

    J’ai tant besoin d’amour.

    Que dans les cieux j’y serais mieux

     

     

    Si ce soir, tu t’endors en pensant à moi

    Sache que dans ton cœur, je serais là.

    N’oublie jamais qu’il soit trop dure de partir.

    Car je renaîtrai à travers tes souvenirs

     

     

    Sur cette terre où je suis née

    J’y ai vécu jusqu’ici, ne sachant plus quoi apporter.

    Sur le papier, j’y ai laissé mes écrits.

    Mon amour et mes souffrances

    Et si maintenant il n’y a plus que le silence

    C’est que je pense avoir tout dit.

     

    ©Christiane

     
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    Allô, allô Halloween

    Bonbons, friandises ou mauvais sorts

    Sorties costumées dans la nuit sombre

    De petits et plus grands, aux maquillages effrayants

     

     

    Allô, allô Halloween

    Frissons, peurs et horreurs

    Au secours, une chauve-souris m’effleure.

    Des yeux lumineux scintillent dans la nuit.

     

     

    Une sorcière sur le pas de la porte

    Le visage terrifiant pour les mendiants

    Demander des friandises et gourmandises

    Jeter un sort, envoyer les morts-vivants

     

     

    Sous la lune, un air pesant plane.

    Les petits mômes se transforment en fantômes.

    Bruits bizarres, des chaînes et cris

    Regardez là-bas un vampire.

     

     

    Allô, allô Halloween

    Eh ! Les gens, ouvrent, ouvrez vos portes.

    Nos estomacs réclament.

    Des sucreries, des crânes en forme de gommes

     

     

    Allô, allô Halloween

    Au secours, au secours

    Eh ! Les copains, les copines, là-bas un zombie

    Derrière l’arbre, un démon, et là, c'est celui que je dois prononcer le nom

     

     

    Ça y est, les ami(e)s , c’est notre dernière escale.

    Quelle étrange et lugubre maison

    Je me passerais bien pour y demander des bonbons.

    Les malédictions, je les garderais pour moi

     

     

    La maison est sinistre, presque pas de lumière.

    Des toiles et des araignées, du sang coule sur la porte

    J’entends des crissements et des miaulements.

    Comme si un loup-garou égorgeait une maman

     

     

    Allô, allô Halloween

    Nous chanterons fort.

    Nous n’avons pas peur.

    Il est temps, il est l’heure de retourner chez nous dans notre demeure.

     

     

    Allô, allô Halloween

    Nous avons affronté, les étranges créatures.

    cette nuit on a fier allure

    L’aventure, c’est l’aventure à parcourir les rues.

     

     

    ©Christiane

     

     

     
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    Je n’oublierais jamais ce quai où tu m’attendais.

    De ce baiser furtif du bout de tes lèvres que tu m’as donné

    Une arrivée où mon cœur battait la chamade

    Une rencontre et le début de notre amour

     

     

    On s'est assis dans ce petit café.

    Où tu me dévorais des yeux

    Et je me baignais à mon tour dans l’azur des tiens.

    Une seule envie que me donnait de fondre dans tes bras

     

     

    Tu m’as alors emmené chez toi.

    Une fois dans ta chambre, cette attirance

    Qui brûlait en moi, que ton corps, c’est collé au mien

    Et dans un baiser langoureux, je me suis laissé aller.

     

     

    Inoubliable baiser

    De tes lèvres qui aspiraient les miennes

    Dans une extrême douceur, ton kiss french

    Qui as enflammé tous nos sens.

     

     

    Tes envies aussi fortes que les miennes

    À fait que tu me dises de me dévêtir

    Un langage un peu brusque, mais qui me plaisait

    Tous deux allonger sur ton lit, on a fait l’amour

     

     

    Une telle jouissance que je ne connaissais pas encore

    Une femme certes, mais qui avait oublié ce que le désir pouvait procurer

    Je me sentais tigresse avec une folle envie de te sentir en moi.

    Tout en passant par les prémices, un vrai délice.

     

     

    Je n’oublierais jamais ces moments rien qu’à nous.

    Qui me faisait sentir la femme la plus heureuse.

    Sentir ton corps si doux sur le mien

    Et ce volcan qui rentrait en éruption à chacun de nos élans

     

     

    Des nuits étoilées dans nos yeux

    Et nos corps unis s’endormaient jusqu’à l’aurore.

    Ce doux parfum qui m’enivrait et qui m’excitait à chaque fois

    Que j’aurais fait l’amour dix fois, épuisées, mais assouvies

     

     

    Inoubliable amour, oui, tu es mon inoubliable amour

    Qui c’est éteint pour ne plus voir le jour

    Mais chaque soir illumine mes pensées.

    Et fait couler la rivière sur mes joues

     

    ©Christiane

     

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    Une journée de réveil vers la liberté

    Un apport d'un sourire aux âmes tristes

    Et un partage fleurit et parfumé d'amitié.

    Un soleil pour illuminer une matinée avec un chant d'oiseaux à écouter

     

     

    Et je pense à tous ces vacanciers d'un été sans nuage.

    Un envol, loin de tout, un endroit auquel je n'ai pas droit

    Et je dévore leurs évasions, leurs excursions.

    Immobilisée, et pourtant j'imagine faire partie du voyage

     

     

    Il n'y a pas un instant où je pense à d'autres horizons.

    Un voyage où il fait bon respirer la détente

    Et ma plume écrit, c'est mon seul transport pour m'évader

    Et ma valise reste fermée, pour ne pas laisser échapper

    Tous ces mots que je ne veux pas dire, pour ne rien gâcher.

     

     

    Je suis dans ce bagage, enfermée et j'étouffe.

    J'aurais tellement besoin d'oxygène, un besoin de m'évader.

    Et ma plume crache son encre en déposant mes baisers.

    Mais à qui les donner ?

     

     

    Mes membres s'ankylosent, je ne pourrais plus un jour bouger.

    Peut-être finirais-je en chaise roulante

    Même marcher, devient en ce jour pénitence.

    Et je rêve d'une marche interminable sur un banc de sable.

     

     

    Ou encore une randonnée en pleine nature

    Où encore dans les sentiers de montagnes

    Et je ferme les yeux, et mon esprit vague sur tous ces paysages.

    J'avais apprêté cette valise, mais personne pour l'emmener.

     

    ©Christiane

     
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    Que de souffrances avons-nous vécu

    Rencontre réelle ou virtuelle

    De par nos écrits, de par nos échanges

    De par des mots doux et des caresses

     

    Par cette solitude qui nous anéantissait

    Nous avons rêvé, fantasmer à nous rencontrer.

    Par notre espoir à chaque fois de nous revoir

    Souvent, nous avons sombré dans le noir par nos questions et nos doutes.

     

    Des instants de lumière, à se regarder

    De pouvoir se toucher et s’embrasser

    Brisant l’écran qui nous séparait

    Des kilomètres parcourus à traverser un pays

     

    Ne plus, ne pas savoir ce que l’on est devenu

    Plus un mot, plus une parole tant attendue

    Et ce silence qui perturbe mon esprit

    Fait déverser des larmes sur ce que j’ai perdu

     

    Trop de cicatrices qui ne guérissent pas

    Me fait dire que je n’aimerais jamais plus

    Et mon cœur de plus en plus s’endurcit.

    De ne plus croire,de ne plus voir, ce qui a causé mon désespoir

     

    Nous, écorché de l’amour ne croient plus au toujours

    Ils poétisent, ils écrivent, ils rêvent.

    Mais plus jamais ils aiment.

    Ils deviennent fantômes , d’une romance.

     

    Nous, écorchés de l’amour, se créent un personnage

    Ils écrivent leurs histoires, imaginent et fantasment.

    Ils vivent dans les étoiles, dans un univers, leur univers.

    Ils existent que par l'encre noir

    Ils respirent et s'assoupissent jusqu'au levé du jour

     

    ©Christiane

     

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