• Dans ma tête tout se bouscule

    j’avance comme une funambule

    de ce voyage qui n’en finit pas

    je suis sur la trace de tes pas

     

     

    Et je m’imprègne de ton regard

    avant qu’il ne soit trop tard

    des je t’aime que tu ne dis pas

    mais qui sont gravé au fond de toi

     

     

    je me languis de tes baisers

    de tes lèvres tu m’as aspiré

    aussi doux et aussi tendre

    tu as toujours aimé me surprendre

     

     

    A corps perdu je rêves à notre histoire

    Était-ce un amour dérisoire

    pourtant j’ai cru à cet espoir

    d’un jour de te revoir

     

     

    Tu es le fantôme de mes nuits

    à chaque approche tu me fuis

    laissant mon âme vaguer sans te toucher

    sur ton corps tant désiré

     

     

    et ma bouche affamée

    engouffre ton membre en érection

    ce n’est que dans mon imagination

    je me fais jouir de satisfaction

     

     

    L’envie restera toujours l’envie

    Indicible famine je me sens toujours féline

    j’ose , le songe est indigne

    Manque de toi déposer ma langue là ou là

     

     

    Il n’y a pas de grève même dans mes rêves

    monter au septième , monter sur l’échelle

    mais la vie que vaut -elle

    sans sexe et sans choix à te vouloir toi

     

     

    Dans ma tête tout se bouscule

    j’avance ou je recule

    et toi tu me bascules

    je suis sur la trace de tes pas

     

     

    Toujours dans mes rêves

    c’est le seul endroit où tu n’es pas absent

    que tout contre toi l’amour est roi

    j’ai tellement besoin de toi

     

    ©Christiane

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  


     

     

    A tous les instigateurs de la guerre

    que ma prière ne reste vaine

    que votre conscience soit l’ouverture vers la signature final

    transforme vos âmes de bienfaisances

     

     

    Dans nos mémoires souvenons-nous des guerres

    de nos ancêtres qui ont combattus pour une cause

    de ces dirigeants voulant la richesse et le pouvoir

    ont détruits de par leur faute des milliers de gens

     

     

    Détruit des vies des combattants et des familles

    anéantis des villes et des villages

    comment peuvent-ils ainsi faire sombrer

    le deuil et le froid dans le cœur de leurs enfants

     

     

    Le passé a laissé trace à jamais de ces guerres

    ce 11 Novembre 1918 enfin pris fin à ces tueries barbares

    une simple signature et des accords les tiennent-ils simplement encore ?

    En cette année de notre siècle une prière de paix leur est lancé

     

     

    Pour que l’amour et l’humanité puisse vivre en sérénité

    arrêter toutes spéculations pour le pouvoir

    votre devoir est à réunir les mains des citoyens

    un entretien et signature à la fin de toutes hostilités

     

     

    La guerre mondiale n’a pas lieu d’être

    ne laissez plus mourir et pleurer vos mères et vos enfants

    vos frères , et tout ceux qui vous sont chers

    Laissez envoler la colombe vers votre liberté d’exister

     

     

    Ces chefs manquent-ils de courage

    pour vouloir une paix durable

    ne laissez pas périr ces âmes dans la faim et le froid

    par votre décision à vouloir régner sur la terre entière

     

     

    En ce jour mémorable de ce 11 Novembre

    je crie ARMISTICE arrêtez nos supplices

    Il n’y a qu’une justice celle de l’amour

    du partage , de l’échange pour que cela change .

     

    ©Christiane

     

    Clic pour vérifier

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

     

    Je garderai de notre hier

    une empreinte gravée en mon cœur

    n’était-ce qu’un caprice

    mon égo dévastateur de venir vers toi

     

     

    Ma fantaisie à vouloir sucrer ma poésie

    pour t’attirer dans mes nuits

    combler une solitude dans mes désirs insensés

    il fut aisé que je te plaise par mon corps de braise

     

     

    Je ne dirais pas que tu as été l’exception de ma vie

    avant toi j’ai aimé avec passion à la déraison

    Il y aura toujours un qui en donnera envie

    pour que l’autre aussitôt s’enivre de cette relation

     

     

    En secret j’ose aimer

    tout ce que je peux toucher

    dans mes rêves j’y laisse

    nos jouissances en puissances

     

     

    Tu es pour moi l’exquis de ma gourmandise

    tu es ma drogue et j’ai faim de toi

    cette nuit ,intenable insomnie

    l’envie me guette avec toi je veux renaître

     

     

    cette phobie de ne plus exister

    de cet amour qui sonne faux

    fait que je déteste tout ceux qui s’aime

    et je hais tout ceux qui me blasphème jalousant mes poèmes

     

     

    De ma concupiscence sensuel ,naturel

    Femmes ne mentent ce qu’elles ressentent

    Et de par toi cette ardeur a prit de l’ampleur

    de par toi je me suis réchauffée à ton bois

     

     

    Toi tu sèmes et tu aimes

    et moi je récolte la graine que tu me donnes

    attisant la flamme de mon inspiration

    en instrumentalisant le feu de la passion

     

     

    Je voue mes jours et mes nuits

    à la poésie, à l’amour aussi

    apportant la frénésie à celui qui me lit

    c’est ainsi que je fuis la monotonie de la vie

     

    ©Christiane

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

       

      

    Il faudrait savoir lire sur son visage

    La belle grande nuit qu’il cache

    La vaste étendue de sa solitude

    Des soleils enfouis qui rejaillit

     

     

    Des intenses moments de sa vie

    Livre ouvert à ses souvenirs

    De son amour qui a vu le jour

    Et qui c’est endormi quand tout fut fini

     

     

    Amant des Muses son encre s’use

    Sur page blanche la couleur de leurs yeux

    Reflètent l’amour qu’il leur porte

    Dans son cœur leur douceur l’absorbe

     

     

    Il compose en prose

    Et parfois il ose le duo en symbiose

    Un enchaînement mêlant le romantisme à l’érotisme

    Il faudrait savoir lire le désir qui l’anime

     

     

    Virtuose de l’amour qu’il étale

    Femmes n’en restent sourdes

    Elles fondent et foncent sans aucun doutes

    Dans ses recueils en un coup d’œil

     

     

    Il nous fait sortir de notre quotidien

    Il nous montre le chemin

    De ce que l’usure du couple est l’usure de soi

    Il est l’apport sensuel qui me manque à moi

     

     

    Virtuel , infidèle il maintient la ficelle

    Hypnotisée je me laisse aller

    Dans ce tourbillon qu’il va composer

    La réplique est si facile quand on conjugue aimer

     

     

    Il est le rêve de mes fantasmes

    Me fait sentir belle , sauvage et rebelle

    J’en oublie même mon physique

    Dans mes nuits chimériques

     

     

    Et toi sais-tu lire sur mon visage

    Ce besoin lointain

    De tenir dans ma main

    L’instrument de mes quatrains

     

     

    Il existe tant de trouvères

    Mais ce sont tes écrits que je préfère

    Il y a bien Lamartine ou le Baudelaire ou le Prévert

    Qu’importe les vers du poète qui s’en sers

     

    ©Christiane

    Clic pour vérifier
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire