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    Alors que l’ire du vent se fait entendre

    une pluie glacée frappe sur ma fenêtre en ce début novembre

    je me blottis dans tes bras qui me réchauffe

    ma tête posée sur ton épaule et ta joue qui me frôle

     

     

    je profite amplement cet instant

    ce moment du présent réconfortant

    et ta main qui me caresse doucement

    fait de moi la femme la plus heureuse

     

     

    point de mots dit ou un simple je t’aime

    juste un regard amoureux

    les gestes faisant le reste

    tout en savourant l’arôme délicat de ton parfum

     

     

    la lumière tamisée de notre petit salon

    de nos deux corps embrasés du feu de la passion

    nous invite par ce baiser langoureux

    de nous mettre à nu cela est plus intime

     

     

    Nous nous sommes jeté corps et âme

    dans ce désir flambant comme les flammes dans l’âtre

    à nous aimer de plus en plus fort

    à nous aimer encore et encore

     

     

    Les branchages des arbres dehors s’enchevêtrent sous la tempête

    comme nos deux corps dans l’élan de l’effort

    autour de nous tout devenait invisible

    juste le bruit de nos soupirs et cris du désir comme un Zéphyr

     

     

    Qu’il est bon de t’aimer jusqu’au matin

    le réveil en est plus délicieux

    un petit café pour toi chéri

    que j’ai préparé avec amour

     

     

    Voilà que le soleil se lève

    un nouveau jour lumineux à deux

    complice notre amour brille de mille feux

    il étincellera cette nuit là haut encore dans les étoiles

     

     

    ©Christiane

     

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    Ô bel étranger, belle étrangère, ose imaginer

    Toi qui en quête d’amour

    que poétiser le verbe aimer

    puisse encore te faire rêver

     

     

    Cœur meurtri n’a pas changé de chemin

    Il peut se dessiner un bel homme , une belle femme à caresser

    Se laisser faire l’amour sur du papier

    C’est assouvir un désir et aussi du plaisir

     

     

    J’ai toujours cette émotion qui m’attire

    et des étoiles dans les yeux

    de ce sentiment que l’on partage à deux

    chacun dans son monde virtuel ou bien réel

     

     

    En pleine puissance je sais encore

    t’enivrer de mes rimes romantiques et érotiques

    pas de frontières , pas de limites

    dans nos ébats de chair quand le feu en moi crépite

     

     

    Plume en main sur ce papier j’écris

    je parle de toi , de lui , de nous

    des moments vécus , rêver , espérer

    des instants d’évasion , et de passion

     

     

    l’amour est toujours à la page

    parfois ce n’est qu’un mirage

    on croit épouser , toucher mais aussi blesser

    le temps d’un poème , d’une chanson

     

     

    ce matin encore que je me suis réveillée

    le soleil n’était pas encore levé

    j’ai chassé le noir de hier au soir

    pour écrire un peu l’espoir

     

     

    je suis encore la femme aux cheveux d’or

    pas ta femme , mais celle qui t’enflamme et te charme

    qui te séduit par ses yeux et son sourire

    que tu ne peux toucher que par tes mots

     

     

    Envoûtante , croustillante et aimante

    encore si fragile avec un cœur docile

    brasillante dans nos ébats nocturnes

    dans un univers qui sème des vers

     

     

    Je suis de toutes les couleurs allant de la pluie au beau temps

    passant du blanc de l’hiver au noir comme l’ouragan

    du vert du printemps au ciel azur de l’été

    Explosive et rouge ardent du volcan

     

     

    Suis-je une muse , en inspirais-je plus d’un(e)

    Bel étranger , belle étrangère

    ne croyez guère que l’amour rime avec toujours

    le présent se mord pourtant à pleine dents

     

    ©Christiane

     

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    Alors que le jour décline

    rentre en action ma plume divine

    dans mes écrits on en ressent mon spleen

    une mélancolie dans mes souvenirs

     

     

    Je suis maudite dans cette nuit noire

    dans mes pensées que personnes ne comprend

    La peine est malsaine à ceux qui ne voient que la lumière

    possible que je vive que dans les ténèbres tel sera un jour ma fin

     

     

    Et pourtant je me traîne dans ce tunnel

    et j’ agripperai bien à celui qui me tendrait la main

    mais faut-il que je sois assoiffée d’amour

    pour que je puisse revoir le jour

     

     

    j’ai encore cette chaîne qui me retient à toi

    et tu me tires en arrière à chaque fois que j’avance d’un pas

    serais-tu le bourreau de mes erreurs

    toi qui me connais presque par cœur

     

     

    Tu m’insuffles des mots d’amour

    En sortirais-je vivante de ce manque d’oxygène

    Es-tu un ange ou un démon

    car tes mots m’ont laissé doute et m’ont mise en déroute

     

     

    Alors que le jour décline

    rentre en action ma plume divine

    dans mes écrits on en ressent mon spleen

    et mon cœur tombe dans l’abîme

     

     

    Il suffirait que tu me libères

    ouvrir le cadenas de mes chaînes

    pour composer de nouveaux vers

    remplit d’étoiles et de lumière

     

     

    Difficile pour moi encore d’aimer

    quand mon être à été plus que blessé

    cette confiance que je n’ai plus

    c’est ton héritage d’un amour déçu

     

     

    Et je m’aigris avec l’âge

    d’avoir tant donné et tourné des pages

    d’une histoire d’amour sans fin

    où j’avais besoin de tendresse et de câlins

     

    ©Christiane

     

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    Tic tac ... Tic tac...Tic tac...

    et ce bruit dans ma tête qui ne s’arrête pas

    ce temps qui s’écoule ,quelques grains de sable

    sablier de l’univers transformé en engrenage

     

     

    Tic tac ... Tic tac...Tic tac...

    les aiguilles tournent lentement

    laissant une seconde du passé pour avancer

    et j’écoute ce fond sonore de l’horloge

     

     

    Que le temps est vicieux pas de répit

    si vite ou lentement il s’entend

    A ce rythme ma vie en dépend à présent

    Comme une valse à trois temps ou à mille temps

     

     

    Tic tac ... Tic tac...Tic tac...

    Et les aiguilles tournent en minutes et en heures

    tout maintenant va si vite ,tributaire de ce mouvement

    les yeux fixés sur cette pendule qui se balance j’ai mon âme en errance

     

     

    Tic tac ... Tic tac...Tic tac...

    Écoute ce bruit doux et tendres

    une heure que je me décarcasse à trouver les mots

    d’un poème pour y laisser trace

    de mon cœur qui bat mais qui se lasse

     

     

    Que le temps est trépidant et palpitant

    Pour que l’amour en fasse tout le tour

    Excitant , décevant dans nos comportements

    Et j’aime pourtant prendre mon temps

     

     

    Tic tac ... Tic tac...Tic tac...

    je suis seul dans ma sphère

    et d’un coup tout s’accélère

    mes pensées déferlent , il faut s’y faire

    et j’écris tout ce qui me passe par la tête

     

     

    Et si l’horloge aujourd’hui est mécanique

    pas de panique il y a toujours ce bruit d’antan

    qui se fait sourde certes maintenant

    mais qui est toujours du passé et du présent

     

    ©Christiane

     

     

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    Tu as laissé trop de traces sur notre amour

    des souvenirs merveilleux avec toi

    mais beaucoup de douleurs aussi

    et je repense à ce passé qui m’a blessé

     

     

    où mes crises de jalousies je l’avoue

    à peut-être ou sûrement tout gâché

    ce soir mes yeux pleurent encore

    des mots cruels que tu m’as dit

     

     

    Je pensais être faîtes pour toi

    que rien ne nous séparerait

    mais la différence était là

    l’âge n’y était pas , et la distance aussi

     

     

    je ne voulais pas y croire

    à la fin de notre histoire

    là assise dans le noir j’étais dans le désespoir

    quand tu m’as dit que tout était fini

     

     

    j’ai essayé de te comprendre

    et je n’avais rien à attendre de toi

    ma venue chez toi pour faire ce deuil

    en pensant que de me voir te ferais changer d’avis

     

     

    oui mon ami m’a quitté

    sur un non baiser demandé

    j’ai encore si mal de ce manque de tendresse

    une femme qui t’avais tout donner et près à tout abandonner

     

     

    si tu aurais voulu seulement

    de là-bas tout laisser

    cela aurait été ,peut-être plus facile

    ce départ précipité pour notre amour qui n’a pas duré

     

     

    oui j’ai mal et encore quand tu m’as dit

    ne viens pas chez moi pour te suicider

    tu n’auras qu’à te débrouiller

    je ne t’aime plus

     

     

    tous ces mots les avais-tu seulement bien pesé

    tu m’as poignardé avec tout mes remords

    avais-tu décidé juste de finir tes jours

    là où tu es né avec une autre que moi

     

     

    Douleurs indélébiles et la plaie se ré ouvre

    chaque fois que je pense à toi , à nous

    sur mon visage qui se ride et se gerce

    à chaque larmes qui y coulent

     

     

    Et pourtant je ne peux m’empêcher encore

    de poétiser et de t’idéaliser

    d’un homme qui se disait sincères et qui m’a trompé

    après autant d’années de complicités

     

     

    Et ce soir l’âme triste

    je veux croire encore un peu à l’amour

    tu as été mon dernier supplice

    car vois-tu encore j’existe mais avec des cicatrices

     

    ©Christiane

     

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    Y’a des moments d’amour qui voit le jour

    des moments tendresses remplit de caresses

    des sentiments qui traversent le temps

    que l’on vit encore à présent

     

     

    Y’a des espoirs qui chassent le noir

    des âmes lointaines qui s’aiment quand même

    des amours clandestins qui valent la peine

    et des départs vers nulle part

     

     

    Et je vis , je vis dans mes souvenirs

    mon bel inconnu , tu vois je suis venue

    ton cœur était à prendre de Juillet à Septembre

    Je l’ai emprisonné de Janvier à Décembre

     

     

    Tu remplit ma love story

    toi qui est mon amour , mon ami

    mon pt’it coin de paradis

    je t’aime à l’infini

     

     

    Je me demande encore pourquoi ce qui nous a fait perdre la raison

    est-ce un coup de passion ou une vraie liaison

    est-ce mon cœur en détresse ou ma jolie paire de fesses

    qui dans ta solitude , tu en as pris l’habitude

     

     

    L’amour que je te donne que dieu me pardonne

    c’est un univers dans lequel je me couche

    cela y est tu me touches , embrasse moi

    et tu n’aimes que moi oui je le crois

     

     

    y’a des moments d’amour qui voit le jour

    des moments à nous remplit de tendresses

    des sentiments qui traversent le temps

    que l’on vit encore au présent

     

     

    Je n’ai plus aucun doute au fond de moi je le sens

    que tu as déjà croqué la pomme à des autres avant moi

    mais en fait qu’importe puisque tu es en bas de ma porte

    ma love story , mon ami l’amour n’est pas fini

     

     

    Et je vis dans mon monde , et je vis chaque minute , chaque seconde

    dans l’attente d’un frisson dans tes jeux polissons

    qui me fait tourner la tête , que l’horloge s’arrête

    dans nos ébats je gémis et cries à tue tête

     

     

    Moi je voulais juste ton corps et de l’amour encore

    un besoin de m’évader sans vouloir trop m’attacher

    attirance vers toi et bien plus encore

    m’a fait t’aimer encore plus fort

     

     

    Et ce soir encore je m’étale sur la toile

    à faire tanguer les étoiles

    te faire briller les yeux et t’emmener dans mes rêves

    avant que la nuit s’achève dis-moi encore que tu m’aimes

     

     

    le temps d’une pause de kamasutra

    Fais moi valser sous les draps

    me renverser dans tous les cas

    aime-moi comme animal avant l’explosion final

     

    ©Christiane

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