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Souvent je me disais que tu ne comprendrais
cela fait quelques années que tu es parti
et en fait c’est moi qui n’ai rien compris
Que l’important est de vivre le présent
On comprend toujours quand c’est trop tard
Quand on a oublier ce qu’est d’aimer
On ne laisse rien passé au hasard
Quand les souvenirs surgissent du passé
Je ne retrouve plus l’homme que tu étais
Celui qui me regardais et me lisais
Je ne suis plus celle qui t’admirait
Les années ont eu raison et j’ai appris
On comprend toujours quand c’est trop tard
Aujourd’hui les mots d’amour ont vu le jour
Bientôt l’été sera de retour
Et le matin je chanterai l’amour
L’amour ressemblera à tes yeux
Le bonheur sera celui que j’ai dans mon cœur
Ce matin il fait soleil et enfin je respire c’est plus pareil
La nature est belle et les oiseaux chantent mon retour
Une nouvelle femme en moi à vu le jour
Une fleur qui éclos parmi les orties
Remplie de tendresse et un peu poétesse
Avec sa sève qui coule dans ses veines
On comprend toujours quand c’est trop tard
qu’avec beaucoup de sagesse l’amour et l’amitié se font rare
Quand l’esprit réfléchit et s’adoucit
L ‘espoir illumine la vie et on revit
©Christiane
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Le printemps est arrivé , la nature se réveille
la nouvelle saison où tout bourgeonne
Ouvre donc ta porte et découvre
l’amour et la joie se donne rendez-vous
au dessus de nos têtes vole l’hirondelle
menant la danse avec aisance
chassant l’hiver à la douce nouvelle fleuraison
saison ou la fauvette s’accouple et prépare leur nid
Merveilleux mois ou la lumière revit
au tendre sourire que tu me tends
De mars à Juin chante moi la nature
reverdit ta plus belle parure
Le printemps est arrivé , la belle saison
où tout se marie , se met au diapason
Où les je t’aime que j’ai connu
qui aujourd’hui ont disparu vers un nouvel inconnu
A ces matins d’un nouvel horizon
chantera encore le pinson et moi la nouvelle chanson
coulera encore le ruisseau où s’abreuve les tourtereaux
l’amour s’invitera à voltiger sur l’aspect de ta beauté
Douce Ivresse de poésie qui fait valser les amoureux
mélangeant l’arôme de mars à avril , sous un léger ciel bleu
A tes yeux azurs qui reflètent mes mots doux
et mes doigts pressant sur ma plume osée ,j’ai composé
Avril dont l’odeur augure les amourettes
renaissant le désir et le plaisir des galipettes
des rendez-vous clandestins que j’aimais bien
Où nourrissait nos envies sous le regard furtif du soleil
Mai splendeur des fleurs à clochettes
Le bonheur est au rendez-vous
Anagramme d’ami devenu amant
Si fin Juin effacera alors le printemps
©Christiane
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Je cherchais la lumière pour fuir les ténèbres
m’élever vers toi à et marcher sur ton pas
Les anges terrestres n’ont pas encore d’ailes
mais leurs bras vous entourent et vous protège
j’aurais aimé te l’entendre dire
quand mon amour suffoquait de désespoir
tes sentiments que tu refoulais en toi
les je t’aime silencieux que reflétaient tes yeux
J’ai cherché à te libérer de ton passé
de tes blessures , de tes souffrances
de tes amours perdus en t’offrant le mien
Te caressant de la main ton doux visage
T’offrant ce corps de femme que tu avais oublié
que les étés et hivers avaient rejetés
la tendresse de mes lèvres posées sur ta bouche
à fait revivre la sensation et la passion sur de nouveaux horizons
Je hais cette distance qui nous sépare
il faut que je me prépare pour un autre départ
Entre la vie ou la mort j’hésite encore
à atteindre ton âme en incinérant mon corps
Et si je me nourris encore de rêves
c’est juste une trêve dans lequel je m’arrête
Un long sommeil dans cette nuit où tu me suis
jusqu’au réveil de mes souvenirs enfuis
Sans toi ,plus rien n’est pareil
je marche , je chante , je mange
mais le chemin me mène à rien
je vis ou survis ce n’est en somme qu’un sursis
Chez moi le ciel n’est plus aussi bleu
je souris pourtant pour ne pas pleurer
J’écris juste encore pour exister et me libérer
cette source d’oxygène pour te dire je t’aime
Il faudra un jour que je m’arrête
de composer autant de poèmes
mais l’encre de ma plume est inépuisable
il suffit d’un souffle sur ma route pour effacer mes doutes
l’amour est parfois si compliquer
que l’on le confond avec l’amitié
Rien n’est jamais acquis ,à moins qu’au paradis
où les fluides et énergies se mélangent se transformant en ange
©Christiane
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Toi l’oiseau bleu guérisseur
tu es devenu le symbole en plein vol
volatile au chant mélodieux
tu es une des plus belle espèce que j’écris en poème
Merveilleux passereau si frêle et pourtant
tes reflets azur ciel m’émerveille
que tu sois geai ,paon,
dans les airs comme sur terre tu reflètes la sérénité
Tu es source de paix et dans mon havre tu es le bienvenu
ton plumage à source d’un cœur pur et serein
Tu me combles de ton message qui annonce l’été
Viens donc te poser et manger dans ma main
Somptueuse créature de mes voyages terrestres et virtuels
Tu es libre et en toi je me livre
Présent en opéra, en pièce , en film , en conte
partout on te chante , on te raconte
Tu es cet oiseau qu’on poétise
En Europe , en Afrique ou outre atlantique
Tu es si plénitude et astrale
que tu vis en nous et au-delà de nous
Vole , vole où la brise du vent t’emmène
vers d’autres horizons survolant terres et mers
venant saluer ton frère qui fait la roue
Je perçois au loin la venue de ton ramage
Oui tu existes aussi sur la toile Twitter
messager nous apportant les nouvelles de la planisphère
puisses-tu nous apporter l’ultime paix et l’amour pulvérisant les guerres
Je suis bleu de toi , j’ai fait mon choix
Avec fierté petit passereau tu représentes mon drapeau
©Christiane
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