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Je préfère faire un pacte d’amour poétique.
Qu’un contrat d’amour définitif
Rêver,c’est broder un poème
Qu’il soit romantique ou érotique
Avec l’expression d’un je t’aime
Entre le ciel et l’enfer, ici,se trouve mon univers
Écrire une belle romance et te faire rentrer dans la danse
Ainsi fusionnent un homme et une femme , deux âmes en somme .
Se créer un monde à soi
Être l’actrice d’un cinéma, j’en ai fait le choix
Dans mon esprit, se cache le fond de mes pensées.
Les mots s’y bousculent, du matin au crépuscule.
Et ma plume caresse devant moi cette page
Quelques rimes sur celle-ci y nagent.
Avec finesse, avec tendresse souvent à toi, je m’adresse.
Dans un amour où rien ne s’efface
Poétiser le verbe aimer, le conjuguer pour mieux l’embrasser
Du premier jour, où tu as pris ta place
J’en ai eu même oublié la réalité,ma réalité.
Cette liberté, c’est juste un moment pour m’évader .
On essaye souvent d’atteindre l’inaccessible.
Mais quand on poétise tout est possible
Nous sommes juste immaculés dans le péché.
Vivre l’adultère est-il blasphème quand on aime ?
Quand l’amour campent sur les positions
Il passe vite de l’inclination du cœur.
À l’inclinaison du corps poétiquement en voilà l’accord
Cette affection est la passion de deux âmes en perdition.
Mes écrits sont un bonheur déguisé.
Entre mes fantasmes et la réalité
Imaginaire, voulant effacé le passé
Mais aussi présent dans le cœur d’un amant
Fugitive de ma vieillesse, avec toi refleurit ma jeunesse
Je suis cette fleur qui s’épanouit au jardin de l’Éden.
Dans l’espace de ton cœur,mes vers flottent en apesanteur
Je viens m’y ancrer pour avoir cette chaleur.
Je préfère faire un pacte d’amour poétique.
Qu’un contrat d’amour définitif
Rêver,c’est broder un poème
Qu’il soit romantique ou érotique
©Christiane
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Petits brins aux clochettes frêles
Carillonnez donc, voici le mois de mai.
Le bel arôme délicat remplit de fraîcheur.
Ta petite fleur va faire le bonheur.
Toi qui pousses dans le sous-bois
Ou encore en bordure des jardins
Quelques mains délicates viendront te cueillir.
Pour ravir la famille ou l’élue de ton cœur
Une journée de fête mise à ton honneur
Te voilà unique et bien coquet
Dans ce beau bouquet de mai
Qui ravirent belles dames aux éclats de sourires plein de charmes.
Ta splendeur, ne vaut-elle pas une chanson ?
Remarque que poétiquement est aussi excellent
Quelques rimes et quatrains fleurissent aussi bien.
Tes quelques brins valent bien cela pour un bonheur à souhaiter.
Et toi qui me lis, j’espère que tu ne m’as pas oublié
Ô toi l’amour, l’ami, ne soit pas radin
Je ne reviendrai que l’année prochaine, au printemps.
Alors prends le temps de m’offrir.
Le temps du muguet ne dure jamais.
Pas plus longtemps que le mois de mai
Et quand mes brins seront fané
Les ami(e)s , les amoureux continueront à s’aimerJe sais que tu aimes mon parfum.
Léger comme la rosée du matin
Je suis vaporisée dans le cou des femmes.
Le parfum qui les rend si désirables
Oui, il est revenu, le temps du muguet.
En passant par là n’oublies pas de me saluer
Se baisser le long du chemin, ne t’engage à rien
Que de faire plaisir aux gens que t’aimes bienRien de tel que ceux cueillis de la nature
C’est le mieux pour m’offrir en toute senteur.
À défaut, quelques euros ne te ruineront pas non plus.
Et le résultat sera multiplié par autant de brins que tu voudras.
©Christiane
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Toujours à t’aimer comme si tu n’étais pas du passé
comme une photo jaunie qui n’aurait pas vieilli
qui existe pourtant au fond de ma mémoire
que le soleil illumine lors de mes journées noires
je faisais souvent ce rêve étrange
tu étais là, près de moi, nos deux corps ne faisant qu’un
Cette chaleur estivale, c'était toi et moi
ce désir sensuel à te toucher, te caresser, t’embrasser
Ce bien-être, je l’ai tant espéré dans la réalité
que cela nous est arrivé, cette passion fut une révélation
Ton regard si doux qui me disait tout
Me laissant frissonner dans tes bras qui m’enlaçait
Toujours à t’aimer comme si tu n’étais pas du passé
sorti de nulle part, je regardais le cliché
Un sourire enivrant et épanouissant
Mes cheveux blonds au vent que ta main caressait
Quand on tombe amoureux, on contemple les étoiles
J’ai juste suivi le chemin qui m’a fait tenir ta main
Ô mon bien-aimé, tu as toujours fait partie de mon quotidien
Seul ton amour peut me garder vivante
Et c’est dans mes nuits et mes rêves que je fantasme
L’amour est une étoffe tissée par la nature et brodée par l’imagination
Et cette sensation me fait jouir à prendre plaisir
Ce souhait à te voir glisser sous les draps
Comme le bon vin que l’on savoure
ton amour est un nectar qui me déshabille
jusqu’au levé du petit jour où tu t’effaces
tu reprends ta place sur cette photo souvenir
©Christiane
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Je pallierai de ton absence.
Car j’ai confiance de te retrouver
Plus d’ici-bas, mais là-haut, on se retrouvera.
On dévoilera enfin ce que tu as laissé en latence.
Et ton amour, renaîtra dans les bras d’un autre.
Cette sensation de ne jamais t’avoir perdu
Tu seras vivant dans ses baisers et dans ses caresses.
Et à nouveau, on s’aimera sans cesse.
Chaque jour sera un lever de soleil.
Sous le ciel bleu de l’été
Notre bonheur fleurira dans nos escapades à la campagne.
Et ton sourire rejoindra le mien.
Qu’est-ce l’amour, sinon du doute et de l’attente
Du désir et de l’espérance
Tu es la source de mon essence.
Tu es la renaissance du chemin et je te tiens la main.
Je ne sais combien durera mon existence.
Mais c’est chez un autre que tu revivras.
Chaque mot que tu diras, sera le plus beau message.
Chaque geste laissera place à la tendresse.
Je pallierai de ton absence.
Car j’ai confiance de te retrouver
Plus d’ici-bas, mais là-haut, on se retrouvera.
On dévoilera enfin ce que tu as laissé en latence.
Nulle ne peut fuir à son destin.
Et dans mes rêves éphémères, tu apparais.
Pour me rappeler qu’il est important d’aimer
Et de se laisser aimer et de jamais renoncer
S’aimer à travers mes mots dessinés sur la page
Où les rimes du vent murmurent les soupirs
Mes sentiments emportés par les ailes du désir
Ton corps s'enflammera au mien.
Tu seras en cet homme, ré incarné pour l’éternité.
L’aspect que tu voudras bien me donner
Sur ma bouche doucement un baiser
Et jamais je ne pourrais t’oublier.
©Christiane
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