Il n’est pas riche, beau  juste ce qu’il faut là et a tout où il faut

Son corps n’est pas celui d’un apollon  mais il a un je ne sais quoi

Qui me plait et je l’aime comme il est c’est tout ce qu’il me fallait

Et comme le chantait  Mistinguett c’est mon homme

 

Il n’est ni jeune, ni vieux et c’est tant mieux

Je n’aime pas sa barbe pourtant soyeuse

Mais il se rase rien que pour nous deux

Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour moi mon amoureux  

 

Quand ses yeux langoureux sur moi se posent

Ça me déshabille, ça me fait quelque chose

Et si ses mains me touchent il me ferait faire n’importe quoi

De ses lèvres, il me boit et moi  j’aime ca

 

Il n’est pas à dire qu’entre nous c’est le désir

Il a tout pour me faire frémir, sans parler même d’en jouir

Il est tendre et romantique parfois même très poétique

Il me fait rire et parfois pleurer mais c’est mon homme

 

Il est un être coquin et ça j’aime bien

Il est même très câlin quand il me dit vient

Cela m’émoustille quand il me mordille

J’aime quand il me butine je suis sa femme qui l’enflamme

 

Je l’aime quand il me susurre des mots osé

Quand il me prend dans ses bras j’en suis gaga

Que femme je suis, je ne peux me passer de lui

Il est mon homme, mon amant, mon mari, mon ami

 

De l’avoir dans la peau c’est le plus beau lot

De savoir aimer en réciprocité, c’est se donner

Un homme pour toi c’est quoi  voilà

Un homme pour moi c’est toi un peu libre un peu fragile, un peu docile

 

Je suis ta femme, je suis ta muse

Au fur des ans un peu je m’use, pour te plaire, pour te sourire

Et si parfois je pleure, je t’aime si fort que je te suivrai jusqu’à la mort

Tu es mon homme, ma raison de vivre, dans mon cœur tu as ta place

 

Un homme pour moi c’est toi

Un peu fou,  un peu tranquille, un peu sensible et émotif

Plus qu’un pote, plus qu’un amant, un amour au quotidien

C’est pour cela que je t’aime bien, alors prends moi la main

 

 A la fois tu es mon homme tendre et  solide

Sensuel, imprévisible dans tes envies

Avec toi je fais ma vie, avec toi à l’infini je décrocherais la lune

T’écrirai des poésies en rime et en quatrain, des mots douceur comme du satin.

 

©Christiane