• Caresse de Zéphyr

     


    Dans le jardin d'Élysée, où l'azur s'épanouit,

    Ce lieu idyllique où les fleurs sont en émoi,

    Se croisent nymphes, Dieu et déesses en harmonie.

    Pas toujours en quête de sagesse, mais de joie.


    O splendeur de la chair ! Ô splendeur idéale !

    Toi, Vénus, Déesse de l’amour,

    Effleurée par la brise de Zéphyr,

    Un souffle de désirs, qu’il en serait sous ton emprise.


    Le vent léger frôle et grise l’amante.

    Elle l’adore et son éclat est éblouissant.

    Et au creux des cieux, la belle sème le brouillard,

    En oubliant sa nymphe, Zéphyr, voit son cœur s'égarer.


    En ce monde éphémère,

    L’amour est une danse, un éternel mystère.

    Dans sa course, Zéphyr attouche la brise.

    Chantant à sa bien-aimée des mots de cerise.

     

     

    Son cœur est en proie à une délicate aventure.

    Naviguant sur les flots d’une passion troublante.

    Et la belle l’appelle avec ardeur.

    Le laissant caresser son feuillage fragile.


    Le reflet du miroir est doux et tendre.

    Deux êtres qui copulent sous la lumière de la lune.

    Quelques soupirs se perdent dans les étoiles.

    Ainsi se tisse, entre amour et désir.

     

    ©Christiane

     

     

     

    « Ombres et Echos poétiques Refuges d'Âme »
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