• L' amitié Masculin-Féminin

     

     

     

     

    J’ai traversé les années et j’ai suivi mon étoile

    celle qui brille et brillera toujours, est celle de l’amitié

    Fidèle à celui ou celle qui m’a accordé du temps

    À prendre de mes nouvelles et j’en ai rendu l’appareil

     

     

    Mais le sablier s’écoule et rien ne peut l’arrêter

    j’ai cru souvent à cette amitié inébranlable

    qui de part son regard à déposer en moi une force inestimable

    Celle qui quoi qu’il arrive me fera garder en mémoire les joies passées

     

     

    Et si dans mes moments de folies, j’ai laissé mon cœur à la dérive

    c’est parce que je me suis réfugiée dans un rêve inaccessible

    Je me suis hasardée à croire que j’étais pour toi la plus belle

    et que de ton désir était juste celle de lier cette amitié de par notre solitude

     

     

    Je ne regretterai jamais de t’avoir connu, toi qui te disais ami pour la vie

    J’aurais dû suivre mon intuition à laquelle qui ne se trompe que très rarement

    De ne pas m’attacher à un être que je croyais sincères de par ces écrits

    De par ses déclarations d’amour qui me faisaient peur, de par ses envies

     

     

    La vie nous apprend plus que l’on ne croit

    et surtout de ne pas croire en tout ce que l’on nous dit

    La relation entre deux êtres ne doit pas être malhonnête

    car souvent après on le regrette

     

     

    L’amitié sincère, la vraie n’abandonne jamais

    elle nous aide à rebâtir un présent, un avenir

    Sans elle on ne peut refaire le monde, traverser des montagnes

    surmonter nos tracas, nos peines et embellir nos joies

     

     

    Ô toi qui m’as quitté certainement parce que je n’ai pu être tienne

    Être ta compagne qui t’accompagne dans un amour défendu

    Je ne peux t’en vouloir car en moi je sais que je n’étais pas faite pour toi

    Pendant que toi tu convoles sur une terre inconnue qu’est la toile d’un amour qui ne seras peut-être jamais à toi

     

     

    Comment aurais-je pu m’attacher à tes ailes

    volage, volage je le savais de trop, tu l’étais

    de femmes au pays lointain, à une belle indienne

    il aurait été trop facile que tu reviennes et que je te reprenne

     

     

    Y’avait-il en moi une pointe d’amour? Ou une amitié bien réelle?

    Quelque soit-elle cette amitié je te l’avais offerte

    Si tu as voulu t’enfuir et échapper à ma présence

    Alors moi aussi, pour la place que tu as tenue, je tire ma révérence

     

     

    ©Christiane

     

    « Je n'ai pas voulu ...Comme une Caresse »
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  • Commentaires

    2
    Dimanche 24 Octobre 2021 à 02:08

    Et oui... je reconnais bien là la personne dont tu parles.

    Cela me fait penser à la chanson de Dalida: Paroles, paroles, paroles... Que des paroles!

    C'est bien triste tout ça et il ne faut pas toujours croire à ce que l'on nous écrit... même si ce sont de très jolis mots d'amour ou d'amitié!

    Tout ce que je souhaite à cette personne à présent, c'est qu'elle soit enfin heureuse et qu'elle ait trouvé l'âme soeur!

    Pour moi, je continues mon bonhomme de chemin... 

    Bisous Christiane! Bon dimanche!

     

      • Lundi 25 Octobre 2021 à 16:11

        Oui c'est vraie Réjeanne , l'expérience a fait que je me suis souvent protégée des beaux parleurs , mais ce qui n'empêche malgré tout d'avoir toujours l'âme romantique . Mais je ne veux plus croire dorénavant au mot toujours 

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