Un cœur qui bat dans l’immensité du ciel, comme un bruit

 Qui nous demande à continuer à vivre

 Où tout le monde fuit vers un paradis

Remplit d’amour et de tendresse

Comme une douce caresse.

Comme un roulement de tambourin

Qui laisse s’enfuir les chagrins au lointain.

Ce rythme cardiaque qui tambourine dans ma poitrine,

Qui me dit je suis encore là, je reste avec toi,

Contrôle tes émois car je crois toujours en toi.

Je suis cette membrane dont émane la chaleur de mon amour

Que j’attends en retour.

Ma souffrance est tel que j’en ressens

La lame de ton poignard que tu me lances pour ne plus t’aimer

Mon sang se met à couler laissant une cicatrise et d’un cœur brisé.

Fatiguée je n’ai plus qu’une  envie,

 Ne plus me battre et me laisser mourir,

 Tes yeux se détournent et mon corps reste inerte

Je ne trouve aucune issue, tu ne vois pas ce que je suis devenue.

A quoi sert de lutter, je ne veux être ré animé,

Un dernier sursaut et mon souffle s’étouffe

Dans ce gouffre où je me tiens.

Crépuscule ma vie bascule,

L’envers de la médaille d’un amour rompu

Plus de sang ne circule, mon corps est inerte

Que ma mort soit pour toi une découverte

 ©Christiane