• Le jour se lève

     

     
      

    Le jour se lève

     Le jour se lève

     

    Le jour se lève, aucune trêve dans mon calvaire

    Encore une nuit à rêver de toi et moi

    Encore une chimère qui revient à chaque fois  

    Notre histoire  que j’essaye d’effacer pas à pas

    Mais je n’y arrive pas

     

    Mon plus bel amour voyageur du passé

    Avons vécu quelques jours pendant des années

    Une relation fusionnelle et passionnelle

    Qui m’a fait naître une nouvelle fois

    Brisé par ton coup de folies de me laisser

    Pour effacer la trace de celle qui t’a aimé

     

    Le jour se lève 

    Mais réveille-toi

     Le père de tes enfants devenus grands

    Tu fuis encore tous ces instants de nos ardeurs

    As-tu peur de m’offrir ce bonheur

    Ne serait-ce encore pour quelques heures

     

     

    Pourrais-je un jour te pardonner

    De ne pas avoir essayé  

    De faire cette fois le chemin en sens inverse

    Pour me susurrer  que tu m’aimes encore,

    Tu n’as même pas osé faire cet effort.

    Me laissant dans mon désarroi avec comme juste mot

    Pardonne-moi de t’avoir blessé

     

     

    Le jour se lève 

    Sur un nouveau paysage, sous un ciel bleu

    Se reflète tes yeux

    Et les grains du sablier du temps

    Se déversent pour recouvrir mon chagrin

    Sur mon doux visage 

     

    Le jour se lève 

    Avec mes prières pour que Dieu te préserve

    De souffrir comme moi j’ai souffert  

    Car moi sans toi je ne vis plus.

    Et si quelqu’un comble à tous deux notre solitude  

    Nulle n’effacera ma certitude qu’un jour viendra

    On se retrouvera si pas d’ici-bas ce sera là-bas. 

     

     

    Le jour se lève

    La mort ne serait-elle  pas plus douce

    Que devoir soigner un cœur blessé

    Épuisée de par ton absence et de tes silences

    Je n’en peux plus de cette nuisance 

    J’attendrais le temps qu’il faudra 

     Si ma patience dépasse mon inconscience 

     

    Oui je te jure on se reverra

    Je te laisse vivre les derniers instants de ton existence

    Avec mes pleurs sur ta conscience

    J’aurais attendu autant d’années pour rien

    Pour que tu ne puisses te libérer et me dire je t’aime

    Là je suis épuisée de t’écrire des poèmes  

    ©Christiane 

     

           

     

    « Petite soeurÔ mon coeur »
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  • Commentaires

    1
    Jeudi 16 Juillet 2020 à 22:40

    Joli!!!

    Bonne nuit à toi et bisous.

    Bon vendredi, ton amie Réjeanne.

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