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    J'appréhende le chemin à tracer,
    Tant de sentiers secrets à explorer.
    Dans le creux de mes reins, ma vie serpente,
    Tout s'illumine, le vent nous enchante.


    Un message porté vers l'abîme,
    Un instant figé dans l'éclat des cimes.
    L’éphémère s’estompe, sans retour,
    Mais le vent, complice, emportera notre amour.


    Tout finira par disparaître,
    Cependant, la brise continuera d’exister.
    Les échos des joies, les blessures,
    Souvenirs d’hier et promesses d’aventures.


    Nous portons en nous de lourds bagages,
    Des étoiles filantes, un vaste paysage.
    Témoins et messagers d'une galaxie lointaine,
    Le vent, porteur d’horizons sereins, nous entraîne.

     

    Cette fragrance des jours d’antan,
    Que la vie frappe à notre porte lentement.
    Une infinité de destins à tisser,
    Un choix à faire, que reste-t-il à porter ?

     

     

    Les changements de la vie, inévitables,
    Chacun fait le bilan des instants admirables.
    Dans l’ombre, j’emporte des traces de toi,
    Des poussières d’étoiles, le vent les portera.


    Tout disparaîtra, c'est la loi du temps,

    Mais le vent, éternel, nous entend, flottant.
    Il est temps de lâcher prise,
    Un jour ou l'autre, nos âmes se réuniront, sans surprise.


    ©Christiane

     

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    Le sablier du temps ne peut être retourné,
    Il faut regarder vers l'avenir, ne pas oublier.
    Au milieu du chemin, la jeunesse s'est évaporée,
    Dans le cristal fin, ciselé, les années s’enfilent .

     


    Avec toi, j'ai parcouru des moments de joie et de peine,
    Et mes pas se pressent dans cet espace étroit.
    Chaque grain de sable représente une part de nous-mêmes,
    Que personne ne pourra effacer.

     


    Chaque jour est une page qui se tourne,
    Dans ma mémoire tant de mots composent un poème.
    Nos sentiments demeurent souvent les mêmes,
    L'amour possède de merveilleux enseignements, à tout âge.

     


    Le temps s'écoule et ne revient jamais,
    Nous ne sommes que des grains de poussière.
    L'espace-temps se rétrécira autour de nous,
    Il ne restera que la lumière de nos âmes, réduites en cendres.

     

    © Christiane

     

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    Je pars loin de tout, loin de lui.

    Mon coin de paradis, je fuis,

    Laissant mes larmes effacer mes écrits,

    Dans l'ombre d'un cœur, où l'espoir se plie.

     

     

    Sous des cieux d'amour, il s'évade, en silence.

    Mon existence, oubliée dans la distance,

    Mais je reste debout, malgré la souffrance.

    Une femme de fer, emprisonnée dans la danse.

     

     

    Je m'envole vers les étoiles.

    Là où ma lumière scintille,

    Où seul celui qui m'aime peut me voir,

    Où les poètes se réfugient dans leurs rêves interstellaires

     

     

    Je pars loin de tout, loin de lui.

    Mon coin de paradis, je fuis,

    Laissant mes larmes effacer mes écrits,

    Dans l'ombre d'un cœur, où l'espoir se plie.

     

     

    Mes poésies sont des empreintes de ma vie.

    Et c'est ici que je me réfugie.

    Laissant quelques traces de nostalgie

    Et des chimères à ne plus en finir

     

     

    Je m’éloigne, mais je reste.

    L'avenir saura faire le reste.

    La gomme efface les peines.

    Là où je serai, je régnerai sur mes rêves.

     

    ©Christiane

     

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    Dans le jardin d'Élysée, où l'azur s'épanouit,

    Ce lieu idyllique où les fleurs sont en émoi,

    Se croisent nymphes, Dieu et déesses en harmonie.

    Pas toujours en quête de sagesse, mais de joie.


    O splendeur de la chair ! Ô splendeur idéale !

    Toi, Vénus, Déesse de l’amour,

    Effleurée par la brise de Zéphyr,

    Un souffle de désirs, qu’il en serait sous ton emprise.


    Le vent léger frôle et grise l’amante.

    Elle l’adore et son éclat est éblouissant.

    Et au creux des cieux, la belle sème le brouillard,

    En oubliant sa nymphe, Zéphyr, voit son cœur s'égarer.


    En ce monde éphémère,

    L’amour est une danse, un éternel mystère.

    Dans sa course, Zéphyr attouche la brise.

    Chantant à sa bien-aimée des mots de cerise.

     

     

    Son cœur est en proie à une délicate aventure.

    Naviguant sur les flots d’une passion troublante.

    Et la belle l’appelle avec ardeur.

    Le laissant caresser son feuillage fragile.


    Le reflet du miroir est doux et tendre.

    Deux êtres qui copulent sous la lumière de la lune.

    Quelques soupirs se perdent dans les étoiles.

    Ainsi se tisse, entre amour et désir.

     

    ©Christiane

     

     

     

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    Que deviendra-t-il de mes poèmes ?

    Poésies inachevées que tu aimes

    Reflets de mes émotions et de ma passion

    Ne suis-je que l’ombre de mes maîtres ?

     

     

    Quelles métaphores naîtront de mes écrits.

    Sans ambition de rivaliser avec de grands auteurs,

    Tel Verlaine ou Victor Hugo,

    Ou des poétesses d'une époque plus récente.

     

     

    Le disciple, pourra-t-il égaler le mentor,

    Même brièvement dans un échange de plume ?

    Cet héritage est fascinant, pourtant.

    Je me conforme à des règles bien définies.

     

     

    Il m'est doux d'apprendre l'art de la rime.

    De croiser leurs chemins dans un écrin lointain

    D’extraire de cet univers des vers ou citations

    De cuisiner à souhait leurs pensées sans aucun outrage

     

     

    Ne suis-je que l’ombre d’auteurs littéraires

    Ma plume est-elle fantôme de la leurs ?

    Et pourtant, mon esprit se libère.

    Dans un monde de rimes sincères

     

     

    Errant dans les méandres de cet univers

    Je scrute mille et un thème, aux nuances diverses :

    L'amour tendre, l'amitié sincère, l'actualité mouvante,

    Mais comment, en un souffle, évoquer l'ensemble ?

     

    ©Christiane

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    Ô, mon amant, mes yeux se noient dans ta prose enivrante.

    Chaque mot résonne comme un doux murmure sur ma peau.

    Confident intime de mes pensées les plus brûlantes,

    Tu éveilles mes sens alors que je me laisse emporter.


    Tu danses sur les constellations dans mon univers intime.

    Au creux de mes songes, tu es mon étoile éclatante.

    Astre de mes nuits passionnées, où je me soumets et m'oppose,

    À l'obscurité, car ta lumière me guide et m'électrise.

     

     

    De toi, j'aime tisser les fils sensuels de mon existence.

    Tu es le nocturne enivrant et l'aube chancelante.

    Ton sourire envoûte mes lèvres avides.

    La saveur de ton essence m'enflamme et me consume.


    Comment ne pas succomber à tes effleurements exquis ?

    Tes mots m'enveloppent tel un satin soyeux.

    Ce don divin que tu me prodigues avec fougue,

    Ta main dans la mienne, un serment de passion à chaque pas.

     

     

    Que l'amour révèle nos désirs les plus secrets,

    Seul confident des tourments qui nous dévorent parfois.

    Dans tes yeux, je découvre la vie, libre de toute entrave.

    Saisissant cette destinée avec force.


    Je frissonne sous tes caresses enivrantes.

    Un feu ardent ravive nos plaisirs partagés.

    Je ne saurais résister à cette passion dévorante.

    Je me livre entièrement, si ce soir, tu te prêtes à ce jeu.


    Je te touche, t'embrasse, sans retenue ni limite.

    Murmurant des "je t'aime" jusqu'à l'extase.

    Ta chaleur enflamme mon être, mon aimable écrit.

    Tu implores, en écho, de partager cette nuit infinie.


    Là où tes doigts effleurent ma peau, je retiens mon souffle,

    Laissons nos mains errer, éveillons nos désirs ardents.

    Dans cet ouragan sensuel, nos corps se rejoignent.

    Rien ne peut m'arrêter, mon élan poétique va s'épanouir.


    ©Christiane

     

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