A l’approche de l’automne pour certain saison bien monotone

Les plumes des poètes dessinent déjà les couleurs chatoyantes de la nature

Tel le peintre qui prépare sa palette de couleurs pour transmettre sur la toile

Les paysages sauvages des forêts aux couleurs rougeâtres et brunâtres

Le ciel parfois peu engageant sous les rafales de vent

Tourbillonnant sur le tapis des feuilles dont les chemins sont recouvert

Au pied de l’arbre quelques écureuils amassent des glands et noisettes

Une provision bien nécessaire pour passer l’hiver

Entre les mains de l’automne tout se transforme

Et Oui ! L’automne à fait mourir l’été

On entend sous le sous-bois couler l’eau fraîche et limpide

Survient un cri grêle de la grive le long de la rive

Poursuivant mon chemin, bien encore plus loin

Non loin du pied de vigne poussant sur les coteaux de France

Alors que le temps des vendanges commence

Une belle viticultrice savoure ce fruit juteux et sucrés, un vrai délice

Si ce poème ne vous donne l’eau à la bouche

Et que vos yeux se ferment à la vue de cette toile

Vous aurez alors raté cette étape de n’avoir pas pu apprécier

De ce que fut cet automne où je vous ai emmené.

©Christiane