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Par cricriangel le 13 Novembre 2020 à 13:57
Est-ce par hasard que j’ai croisé ton regard
Entre quelques lignes écrites sur la toile
Une rencontre magique, un je ne sais quoi idyllique
Confidences pour confidences tu fus ma préférence
Pas un seul jour, un rendez-vous manqué
Du matin à tard le soir on a tout partagé
Nos vies et moments intimes sont devenus légitime
J’ai enfin trouvé l’homme à aimer
Aimer à l’impossible, aimer à te désirer
L’amitié s’arrête que quand l’amour commence
Mon cœur est parti en errance tu es ma dernière chance
J’ai foncé dans un mur et j’ai accélérer quand même
Donne-moi ce que j’attends, offre-moi l’amour
Fais-moi vibrer par tes mots tendresses
Délivres-moi de ma solitude, de mes habitudes
Libères moi de mes certitudes, de mes inquiétudes
Je suis une fleur fragile entre tes mains habiles
Et si la rose se fanera dans le désert
Notre amitié elle ne se flétrira jamais
Prenons alors l’amour tant qu’il est encore temps
Et tes yeux et ton sourire qui me font souvent rougir
Un je t’aime amicale, parait banale
Mais mon je t’aime est d’amour éternel
Si je t’aime tellement c’est par tes sentiments à mon égard
Je veux t’offrir tout ce qui a de bien
Des baisers et de doux câlins
Une épaule pour te reposer
Une main à tenir à ne jamais me laisser partir
Chacun de mes sourires est une pensée pour toi
Chacun de mes regards sont des appels vers moi
Chacun de mes écrits sont difficiles parfois à décrypter
Quel qu’il en soit, l’amour et l’amitié est une manière d’aimer
Et si parfois je doute et que je m’accroche si fort à toi
C’est quelque chose qui me fait croire que tu tiens quand même à moi
Alors essaye de voir en moi tout ce que j’attends de toi
Un je t’aime que tu me le dises si tu peux, si le feu brille dans tes yeux
©Christiane
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Par cricriangel le 10 Novembre 2020 à 21:03
C’est dément d’aimer sans vraiment aimer
De lire des déclarations faites à d’autres
Celles qu’il chantait autrefois à merveille à mon oreille
Douleurs ressentie au fond de mon cœur, angoisse et mes yeux en pleurs
Je connais la réponse à ce mal être, en fait je ne l’aime pas
Mais il ressemble à mon amour déçu d’autrefois
De belles courbettes et des mensonges auxquels je songe et qui me ronge
Des doutes à ne plus en finir qui a fini par me détruire
L’être que j’ai aimé m’a abandonné
Il n’est plus de ce monde
Nos sentiments secrets nous appartenaient
Nous nous sommes enflammés et le temps nous a consumés
A chaque chanson romantique que j’écoute
A chaque écrit poétique que je lis
Je me sens concernée et désemparée
Mais qu’est-ce que j’ai pu l’aimer
Pourquoi cette souffrance et mon âme en errance
Quand je lis des écrits qui ne me sont pas destiné
Souffrance du passé refait surface, plus de place pour un autre à aimer
J’ai peur des sentiments que l’on pourrait m’offrir de peur d’encore souffrir
Et pourtant j’aimerais encore y croire
Que de me morfondre de désespoirs
Ma vie je la vis dans le noir
Depuis que l’amour a fait couler trop de larmes sur mon visage
Je t’ai trop attendu pendant toutes ces années
Je croyais trop à nous deux
Et me noyais dans le bleu de ses yeux
Tout ce temps j’étais aveugle, il aurait mieux fallu que je meure
L’amour en souffrance pas de chance
Deux cœurs solitaires se sont rencontrés
Se sont aimé et désiré le temps des mois d’été
Il était le chat et moi la souris
Aujourd’hui j’ai fini d’aimé, ne plus me laisser berner
©Christiane
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Par cricriangel le 31 Octobre 2020 à 11:33
Covid … covid ...
Hé dis-donc tu n’as pas honte, y’en a plus que pour toi
Je me lève, je me couche tu en remets encore une couche
Ton nom ce prononce, on te dénonce dans les médias
Sur le papier, à la télé, à la radio on va devenir gaga
Covid … covid ...
Sale petit virus veux-tu t’en aller de là
Tu nous ennuies et nous prive de liberté
Tu veux te faire une place dans un monde qui ne te désire pas
Tu te fou de l’été et de l’hiver, tu nous agresse quand même
J’en ai marre de ton invisibilité
Combattre un fantôme au déguisement d’Halloween
Tu es le vampire de notre société
Le squelette de nos cimetières
Covid… Covid…
Je me demande même si dans la tête de nouvelles mères
Elles ne cogitent pas à appeler leur enfant par ton nom réactionnaire
Plus rien ne devient bizarre dans notre nouvelle ère
Tant que cela rapporte dans le budget monétaire
Covid…Covid ...
Je vais être vulgaire,
N’est pas apollinaire qui le veut
Tu inspires plus la haine que l’amour
Avec une seringue un jour on te tuera
Tu es maléfique, machiavélique
Tu manipules tous les intérêts politiques
Même pour Coluche tu es un schmilblick
Est-ce que le schmilblick est destructible ?
Covid … Covid …
Tu te fous bien de nous
Partout où tu passes tu mets la panique
Je prends bien à garder mon masque
Avant que l’on te fracasse
Prends garde … prends garde …Prends garde
Le jour où l’on deviendra invincible
On n’entendra plus parler de toi
Et enfin le peuple vaincra
Covid…Covid ...
Non tu ne décideras plus
De ceux qui reste, de ceux qui meurent
Covid…Covid…
Non tu ne décideras plus de ceux qui reste, de ceux qui meurent
©Christiane
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Par cricriangel le 24 Octobre 2020 à 15:14
Lorsque tu franchiras le pas
Revêtes-toi de ton plus bel habit
Ton regard de velours m’éblouit
Et dans la nuit je frémis
J’attends ton retour
Avec tes mots, mon tendre amour
Toi qui sais si bien rimer le mot aimer
Que mon cœur bat tambour
Tu es du pays où brille le soleil
Et ton corps fait fondre le mien
Lorsque je viens et t’appartient
Tu es si loin et pourtant je te sens si près de moi
Tu es comme le sable du désert
Chaud comme mon cœur de braise
Et sur ta bouche je dépose
Un tendre et doux baiser plein de fièvre
Ma liberté est de te désirer
Mais seulement dans mes rêves
Franchit donc le pas de ma chambre
Où sous les draps mon corps danse
Intense moment que sera cette nuit
Que de souvenirs je te laisserai dans ton esprit
Embrasse –moi dans le cou, ton désir est si fou
Caresse-moi avec tendresse, et laisse-moi dans mon ivresse
Lorsque tu franchiras le pas
Souviens-toi de mon amour de tous les jours
Les instants suprêmes de nos corps qui se déchaînent
Lorsque tu franchiras le pas, du passé je suis restée la même
©Christiane
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Par cricriangel le 17 Octobre 2020 à 11:53
Si tu aimes frissonner, que tu aimes trembler
Les histoires de sorcières, de vampires, de zombie
Vont venir ce soir sortir du livre des horreurs
Sortilèges et assoiffé de sang au détour d’un cimetière
Apparition de spectres, une étrange lueur suspecte
Une maison hantée de personnages immondes
De grosses citrouilles à la bouille et aux yeux illuminés
Sur le chemin de terre une araignée énorme
Ce soir est glacial et hurle le vent
La peur envahit l’esprit des petits enfants
Qui malgré tout courageux parcourent les rues en hurlant
Nous n’avons pas peur, offrez-nous des caramels au beurre
Halloween … Halloween encore une friandise où bien tu meurs
Quels sont donc ces mauvais sorts dans cette nuit où surgit des cris
Passant devant ce vieux manoir orné d’épouvantail et d’ombres bizarres
Prenez garde aux vampires, il serait temps de déguerpir
Si tu aimes frissonner, que tu aimes trembler
Imprègne-toi d’histoires insolites
Sont-elles véridiques ? Sortie de l’ombre seulement un soir de fin Octobre
Cet étrange sensation d’une sueur froide venue d’outre-tombe
Cette nuit la lune est pleine
On récolte les comestibles pour notre bedaine
Halloween ne nous fait pas peur en chantant tous en cœur
On veut juste bonbons, caramel et carambar
Oh que diable ! Sortilèges, formules et poudre magique
Les contes et les histoires maléfiques
Vivons chantons, hurlons à tue-tête
Halloween …Halloween nous nous alléchons nos babines
©Christiane
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Par cricriangel le 10 Octobre 2020 à 13:36
Et encore … je pense souvent à toi
Dans mes souvenirs tu te caches dans un coin de ma mémoire
Et ton visage m’apparaît, ton regard me foudroie comme la première fois.
Et je me rappelle de notre premier baiser
Et encore…les soirs d’hiver je rêve
D’être à côté de toi dans tes bras
M’endormir dans le creux de ton épaule
Tu me manques amour de ma vie
Et encore … nos corps qui faisaient l’amour
J’en ressens encore la douceur de ta peau
Les frissons du parcours de tes mains
Qui m’emportait dans un tourbillon fougueux
Et encore … si tu pouvais me dire les mots
Ceux que j’aime entendre, ceux que tu me susurrais tous bas
Une des plus belles mélodies d’amour
Tous ces petits mots qui se meurent au fond de moi
Et encore … Oui encore une dernière danse
Coller serrer, me frotter et ne plus penser
Arrêter le temps avant mon départ
Les trains arrivent et partent de gare en gare
Et encore … Ce soir je pleure
Car je sais que je ne te reverrais jamais plus
C’est trop triste l’amour quand il ne dure plus
Et je t’aime mon âme est en souffrance
Et encore … Si tu savais ce que je deviens
Sans toi je ne vis plus, rien ne va plus
Je reste seule et me fait une raison de ce que fut notre passion
J’ai si mal encore, on s’aimait pourtant et tu n’es plus là
J’écoute cette musique qui fait battre mon cœur
Il me semble entendre ton pas qui vient vers moi
Mais non, ce n’est pas possible, je le sais
Cela me joue des tours, c’est encore dans ma tête … C’est bête !
Et encore … Oui encore je te dis je t’aime
Je t’aime et t’aimerai toujours un peu plus fort
Je le pense si fort, que là-haut
Tu as dû m’entendre et ce que tu m’attendras dis ?
©Christiane
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