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    Est-ce par hasard que j’ai croisé ton regard

    Entre quelques lignes écrites sur la toile

    Une rencontre magique, un je ne sais quoi idyllique

    Confidences pour confidences tu fus ma préférence

     

    Pas un seul jour, un rendez-vous manqué

    Du matin à tard le soir on a tout partagé

    Nos vies et moments intimes sont devenus légitime

    J’ai enfin trouvé l’homme à aimer

     

    Aimer à l’impossible, aimer à te désirer

    L’amitié  s’arrête que quand l’amour commence

    Mon cœur est parti en errance tu es ma dernière chance

    J’ai foncé dans un mur et j’ai accélérer quand même

     

    Donne-moi ce que j’attends, offre-moi l’amour

    Fais-moi vibrer par tes mots tendresses

    Délivres-moi de ma solitude, de mes habitudes

    Libères moi de mes certitudes, de mes inquiétudes

     

    Je suis une fleur fragile entre tes mains habiles

    Et si la rose se fanera dans le désert

    Notre amitié elle ne se flétrira jamais

    Prenons alors l’amour tant qu’il est encore temps

     

    Et tes yeux et ton sourire qui me font souvent rougir

    Un je t’aime amicale, parait banale

    Mais mon je t’aime  est d’amour éternel

    Si je t’aime tellement c’est par tes sentiments à mon égard

     

    Je veux t’offrir tout ce qui a de bien

    Des baisers et de doux câlins

    Une épaule pour te reposer

    Une main à tenir à ne jamais me laisser partir

     

    Chacun de mes sourires est une pensée pour toi

    Chacun de mes regards sont des appels vers moi

    Chacun de mes écrits sont difficiles parfois à décrypter

    Quel qu’il en soit, l’amour et l’amitié est une manière d’aimer

     

    Et si parfois je doute et que je m’accroche si fort à toi

    C’est quelque chose qui me fait croire que tu tiens quand même à moi

    Alors essaye de voir en moi tout ce que j’attends de toi

    Un je t’aime que tu me le dises si tu peux, si le feu brille dans tes yeux

    ©Christiane

     

     

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    C’est dément d’aimer  sans vraiment aimer

    De lire des déclarations faites à d’autres

    Celles qu’il  chantait autrefois  à merveille à mon oreille

    Douleurs ressentie au fond de mon cœur, angoisse et mes yeux en pleurs

     

    Je connais la réponse à ce mal être,  en fait je ne l’aime pas

    Mais il  ressemble à mon amour déçu d’autrefois

    De belles courbettes et des mensonges auxquels je songe et qui me ronge

    Des doutes à ne plus en finir qui a fini par me détruire

     

    L’être que j’ai aimé  m’a abandonné

    Il n’est plus de ce monde

    Nos  sentiments secrets nous appartenaient

    Nous nous sommes  enflammés et le temps nous a consumés

     

    A chaque chanson romantique que j’écoute

    A chaque écrit poétique  que je lis

    Je me sens concernée  et désemparée

    Mais qu’est-ce que j’ai pu l’aimer

     

    Pourquoi cette souffrance et mon âme en errance

    Quand je lis des écrits  qui ne me sont pas destiné

    Souffrance du passé  refait surface, plus de place pour  un autre à aimer

    J’ai peur des sentiments que l’on pourrait m’offrir de peur d’encore souffrir

     

    Et pourtant j’aimerais encore y croire

    Que de me morfondre de désespoirs

    Ma vie je la  vis dans le noir

    Depuis que l’amour a fait couler trop de larmes sur mon visage

     

    Je t’ai trop attendu pendant toutes ces années

    Je croyais trop à nous deux

    Et me noyais dans le bleu de ses yeux

    Tout ce temps j’étais aveugle, il aurait mieux fallu que je meure

     

    L’amour en souffrance pas de chance

    Deux cœurs solitaires se sont rencontrés

    Se sont aimé et désiré le temps des mois d’été

    Il était le chat et moi la souris

    Aujourd’hui j’ai fini d’aimé, ne plus me laisser berner

    ©Christiane

      

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    Covid … covid ...

    Hé dis-donc tu n’as pas honte, y’en a plus que pour toi

    Je me lève, je me couche  tu en remets encore une couche

    Ton nom ce prononce, on te dénonce dans les médias

    Sur le papier, à la télé, à la radio on va devenir gaga

     

    Covid … covid ...

    Sale petit virus veux-tu t’en aller de là

    Tu nous ennuies et nous prive de liberté

    Tu veux te faire une place dans un monde qui ne te désire pas

    Tu te fou de l’été et de l’hiver, tu nous agresse quand même

     

    J’en ai marre de ton invisibilité

    Combattre un fantôme au déguisement d’Halloween

    Tu es le vampire de notre société

    Le squelette de nos cimetières

     

    Covid… Covid…

    Je me demande même si dans la tête de nouvelles mères

    Elles ne cogitent pas à appeler leur enfant par ton nom réactionnaire

    Plus rien ne devient bizarre dans notre nouvelle ère

    Tant que cela rapporte dans le budget monétaire

     

    Covid…Covid ...

    Je vais être vulgaire,

    N’est pas apollinaire qui le veut

    Tu inspires plus la haine que l’amour

    Avec une seringue un jour on te tuera

     

    Tu es maléfique, machiavélique

    Tu manipules tous les intérêts politiques

    Même pour Coluche tu es un  schmilblick

    Est-ce  que le schmilblick est destructible ?

     

    Covid … Covid …

    Tu te fous bien de nous

    Partout où tu passes tu mets la panique

    Je prends bien à garder mon masque

    Avant que l’on te fracasse

     

    Prends garde … prends garde …Prends garde

    Le jour où l’on deviendra invincible

    On n’entendra plus parler de toi

    Et enfin le peuple vaincra

     

    Covid…Covid ... 

    Non tu ne décideras plus

    De ceux qui reste, de ceux qui meurent

    Covid…Covid…

    Non tu ne décideras plus de ceux qui reste, de ceux qui meurent

    ©Christiane

     

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    Lorsque tu franchiras le pas

    Revêtes-toi de ton plus bel habit

    Ton regard de velours m’éblouit

    Et dans la nuit je frémis

     

    J’attends ton retour

    Avec tes mots, mon tendre amour

    Toi qui sais si bien rimer le mot aimer

    Que mon cœur bat tambour

     

    Tu es du pays où brille le soleil

    Et ton corps fait fondre le mien

    Lorsque je viens et t’appartient

    Tu es si loin et pourtant je te sens si près de moi

     

    Tu es comme le sable du désert

    Chaud comme mon cœur de braise

    Et sur ta bouche je dépose

    Un tendre et doux baiser plein de fièvre

     

    Ma liberté est de te désirer

    Mais seulement dans mes rêves

    Franchit donc le pas de ma chambre

    Où sous les draps mon corps danse

     

    Intense moment que sera cette nuit

    Que de souvenirs je te laisserai dans ton esprit

    Embrasse –moi dans le cou, ton désir est si fou

    Caresse-moi avec tendresse, et laisse-moi dans mon ivresse

     

    Lorsque tu franchiras le pas

    Souviens-toi de mon amour de tous les jours

    Les instants suprêmes de nos corps qui se déchaînent

    Lorsque tu franchiras le pas, du passé  je suis restée la même 

     

    ©Christiane

     

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    Si tu aimes frissonner, que tu aimes trembler

    Les histoires de sorcières, de vampires, de zombie

    Vont venir ce soir sortir du livre des horreurs

    Sortilèges et assoiffé de sang au détour d’un cimetière

     

    Apparition de spectres, une étrange lueur suspecte

    Une maison hantée de personnages immondes

    De grosses citrouilles à la bouille et aux yeux illuminés

    Sur le chemin de terre une araignée énorme

     

    Ce soir est glacial et hurle le vent

    La peur envahit l’esprit des petits enfants

    Qui malgré tout courageux parcourent les rues en hurlant

    Nous n’avons pas peur, offrez-nous des caramels au beurre

     

    Halloween … Halloween encore une friandise où bien tu meurs

    Quels sont donc ces mauvais sorts  dans cette nuit où surgit des cris

    Passant devant ce vieux manoir orné d’épouvantail et d’ombres bizarres

    Prenez garde aux vampires, il serait temps de déguerpir

     

    Si tu aimes frissonner, que tu aimes trembler

    Imprègne-toi d’histoires insolites

    Sont-elles véridiques ? Sortie de l’ombre seulement un soir de fin Octobre

    Cet étrange sensation d’une sueur froide venue d’outre-tombe

     

    Cette nuit la lune est pleine

    On récolte les comestibles pour notre bedaine

    Halloween ne nous fait pas peur en chantant tous en cœur

    On veut juste bonbons, caramel et carambar

     

    Oh que diable ! Sortilèges, formules et poudre magique

    Les contes et les histoires maléfiques

    Vivons chantons, hurlons à tue-tête

    Halloween …Halloween nous  nous alléchons nos babines

    ©Christiane

     

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    Et encore … je pense souvent à toi

    Dans mes souvenirs tu te caches dans un coin de ma mémoire

    Et ton visage m’apparaît, ton regard me foudroie comme la première fois.

    Et je me rappelle de notre premier baiser

     

    Et encore…les soirs d’hiver je rêve

    D’être à côté de toi dans tes bras

    M’endormir dans le creux de ton épaule

    Tu me manques amour de ma vie

     

    Et encore … nos corps qui faisaient l’amour

    J’en ressens encore la douceur de ta peau

    Les frissons du parcours de tes mains

    Qui m’emportait dans un tourbillon fougueux

     

    Et encore … si tu pouvais me dire les mots

    Ceux que j’aime entendre, ceux  que tu me susurrais tous bas

    Une des plus belles mélodies d’amour

    Tous ces petits mots qui se meurent au fond de moi

     

    Et encore … Oui encore une dernière danse

    Coller serrer, me frotter et ne plus penser

    Arrêter le temps avant mon départ

    Les trains arrivent et partent de gare en gare

     

     

    Et encore … Ce soir je pleure

    Car je sais que je ne te reverrais jamais plus

    C’est trop triste l’amour quand il ne dure plus

    Et je t’aime mon âme est en souffrance

     

     

    Et encore … Si tu savais ce que je deviens

    Sans toi je ne vis plus, rien ne va plus

    Je reste seule et me fait une raison de ce que fut notre passion

    J’ai si mal encore, on s’aimait pourtant et tu n’es plus là

     

    J’écoute cette musique qui fait battre mon cœur

    Il me semble entendre ton pas qui vient vers moi

    Mais non, ce n’est pas possible, je le sais

    Cela me joue des tours, c’est encore  dans ma tête … C’est bête !

     

    Et encore … Oui encore je te dis je t’aime

    Je t’aime et t’aimerai  toujours un peu plus fort

    Je le pense si fort, que là-haut

    Tu as dû m’entendre et ce que tu m’attendras dis ?

     

    ©Christiane

     

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