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    Une année vient de s’écouler et quel année !

    Une empreinte bien morose et douloureuse, elle nous a laissé.

    De belles  et bonnes résolutions avions-nous tous souhaité

    Du bonheur, de la prospérité et surtout une excellente santé

     

    Parlons s’en de ses vœux partagés au monde entier

    2020 fut l’hécatombe dans notre société

    Destruction mondiale d’une partie de l’humanité

    Par cette manipulation minuscule de ce virus

     

    Nos aînés les plus âgés disparaissent en premier

    Et la vague en continuelle progression toucha les autres générations

    Tous avions des rêves aux goûts éternels

    Sans un dernier au revoir, ils ont traversé le miroir

     

    Le destin est fait de voir partir ceux que l’on aime

    Le monde de nos artistes n’a pas été épargné

    Les anciens de nos années passées nous jouent et chantent leurs derniers tours de plateaux

    Nous les oublierons pas en leur faisant une révérence et 2021 commencera une nouvelle danse

     

    Pourrons-nous encore en ce jour de l’an nouveau

    Encore prononcé avec espérance quelque chose qui ait un sens

    Même en gardant la foi, et pleins de doutes en soi

    Des vœux à offrir à tous ceux qu’on aime, pour autant qu’ils ne se transforment en blasphème

     

    Bien triste poème pour l’année prochaine

    Réalité cachée que l’on veut ignorer de peur qu’elle laisse tâche

    Nous aurions peur d’entrouvrir la porte de 2021, cela ferait pâlir plus d’un

    Ne soyons pas Hypocrite, mais gardons juste encore une étincelle pour rendre la vie plus belle

     

    Voir un avenir sous un meilleur jour, un parcours sous le signe de l’amour

    Une main tendue vers l’amitié, un pas solidaire pour les plus précaires

    Pour vivre ou survivre, soyons inséparables vers un nouveau combat

    Préservons l’essentiel nous possédons tous ce potentiel

     

    Saluons quand même cette coutume

    Qui enterre l’an vieux et fait vivre l’an neuf

    Pour amener plus de biens que de mal

    Saluons ensemble nos amitiés et nos amours  sans vieillir notre cœur

     

    Y aurait-il un génie dans la lampe d’Aladin pour exaucer nos vœux ?

    Rendre le monde plus heureux et éteindre les maladies

    Bonheur, amour, travail, santé, argent pour vous et les autres

    Ca y est je vous le lâche encore cette fois Bonne année

     

    Nous pourrions encore tant dire sur notre proche avenir

    Mais laissons levé le soleil  et venir les jours

    Soyons prévenant et allons de l’avant, cela ne peut être pire

    Au diable les préjugés Oui encore et encore Bonne année

     

    ©Christiane

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    Je t’invite dans mon jardin d’hiver

    Où le soleil brille derrière ma fenêtre

    Chez moi il ne fait jamais froid

    De ma chaleur que je garde pour toi

     

    Ne reste pas dehors dans le froid

    La neige et la brise n’est pas fait pour toi

    Tu as besoin d’un corps de braise allongée à tes côtés

    Des caresses et des baisers pour te faire oublier

     

    Ma vie n’est plus pourtant à prendre

    Je te propose juste des vacances, un peu de détente

    De l’amour exotique et beaucoup d’érotisme

    Je te serais ta vahiné d’âge tendre si tu ne te fais attendre

     

    Enlève donc ton gros manteau si le feu te brûle

    Je serais nue sous les draps dans mon jardin d’hiver

    Nulle ne pourra nous entendre dans le sombre de ma chambre

    Dehors c’est l’hiver de décembre, les volets clos, je te dévoile mon dos

     

     

    Je voudrais toujours te plaire,  pour que la nuit ne finisse plus

    Je peux me transformer en sirène pour te chanter l’amour

    Me tortiller comme un serpent tout contre toi

    Mes doigts seront explorateurs et caresseurs

     

     

    Je t’invite dans mon jardin d’hiver

    Où le soleil brille derrière ma fenêtre

    Chez moi il ne fait jamais froid

    De ma chaleur que je garde pour toi

     

     

    Je veux t’embrasser les yeux fermé

    Profiter de ces instants si doux,

    De t’imprégner de mon parfum dans ton cou

    Et tes mains brûlantes qui ne se laissent attendre

     

     

    Qu’il fait bon dans mon jardin d’hiver

    Le matin sous une robe fluide

    La nuit dansant nue pour toi

    Voluptueuse je te dévore mon petit cœur en or

     

     

    Vient  donc cueillir la fleur de mon jardin, ne te laisse pas avoir froid

    Dehors c’est le vent de l’Alaska, chez moi la douceur d’un soir d’été

    Entre et ferme la porte que l’amour nous emporte

    Imagine déjà la scène, la  main sur la tige

     je fais monter la sève dans mon jardin d’hiver

     

    ©Christiane

     

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    J’ai beau chercher des mots d’amour

    Je pense en avoir fait tout le tour

    Mon cœur c’est juste fermé

    De t’avoir trop aimé et tout donné

     

    Je peux encore imaginer la forme de ton corps

    Où le mien tendrement c’est affoler

    De nos moments et de nos nuits

    Dans l’ivresse de nos envies

     

    Je t’aime à en mourir de mes nuits avec toi

    Je m’ennuie aujourd’hui puisque c’est fini

    Dans les rêves je m’enfuis, des rencontres avec toi  inouïes

    Tu es juste un bref spectre avec lequel je me délecte

     

    J’ai beau chercher des mots d’amour

    Ceux que je t’ai dits ou pensés tous les jours

    Qu’aujourd’hui je n’ose plus prononcé

    De t’avoir trop aimé  et tout donné

     

    Mon cœur est souvent en errance

    Entre l’amour et l’amitié, il y a  une différence

    La réalité est de vivre à deux pour se connaître un peu mieux

    Le virtuel n’est qu’échappatoire et souvent délusoire

     

    J’aimerai encore pouvoir dire je t’aime

    Mais cela ne vaut pas la peine de laisser ceux qu’on aime

    Pour une aventure, jamais longtemps cela ne dure

    Je vis le présent et refoule  souvent mes sentiments

     

    Je pourrais pourtant te dire je t’aime, c’est trop facile à dire, à écrire

    Dans ma tête encore trop de souvenirs, avec toi c’est de la poésie

    Les mots cela se cherche, cela se construit en quelques rimes

    L’amour est bien plus fort, qu’un contact dans un corps à corps

     

    J’ai beau chercher des mots d’amour

    Je pense en avoir fait tout le tour

    Mon cœur c’est juste fermé

    De t’avoir trop aimé et tout donné

     

    Fini pour moi les secrets de  nos rencontres sans lendemain

    J’aimais tenir ta main et te faire frissonner de mes baisers

    J’ai tout laissé là dans mon passé et le livre je ne peux le fermer

    L’amour maintenant est mort à jamais quand tu es parti en paix

     

     

    Les mots d’amour sont devenus maintenant des maux d’amour

    L’amour ça va, ça vient, c’est fait de tout petit rien

    Des cicatrices sur peau de chagrin, pourrais-je encore aimer demain ?

    De poser mon cœur près du tien sans aller plus loin

     

    ©Christiane  

     

     

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    En attendant Noël

    Sous le toit des chaumières
    On a le cœur bien heureux

    Papa est revenu de la ville

    Traînant derrière lui le sapin tout vert vêtu

    Il prendra place dans le coin du salon

     

    Bien vite du grenier est descendu

    Les caisses renfermant les différentes garnitures

    Qui orneront les branches du roi de la forêt

    Un bel habit de circonstance pour fêter Noël

     

    Toute la famille s’y donne à cœur joie

    Les enfants en premier, voulant accrocher leur première boule

    Tommy préfère suspendre le tambour et la trompette

    Quand à maman elle n’oubliera pas  le petit ange sur la plus haute des branches

     

    La soirée est animée, chantonnant les airs les plus connus

    Plaçant quelques guirlandes entourant le beau conifère

    N’oubliant pas aussi les guirlandes lumineuses clignotantes

    Il faut que pour le 24 au soir  tout soit prêt pour la fête

     

    Maman n’oubliera rien même l’étoile qui trônera

    Sur la pointe, une étoile d’espérance, une étoile de guidance

    Il  faut surtout que le père noël aperçoive que tout est prêt

    Pour recevoir les petits cadeaux au pied de cet arbre magique

     

    Le soir tombé, les enfants admirent les illuminations

    Tout brille, scintille, pour réveillonner en famille

    Papa à disposer sur la cheminée quelques bougies

    Suspendant les 3 bottes creuses de velours pour y récolter quelques friandises

     

    Grand-mère a étendu sur la table sa plus belle nappe blanche

    Et au milieu trône de belles jacinthes mauves et roses

    Quelques branches de sapin, des pommes de pins,

    Quelques baies rouges surplombent les  branches de houx à chaque extrémité de la table donnant ainsi un bel aspect

     

    De la cuisine s’échappe les arômes culinaires

    Pour le festin du soir, soupe au potiron sera servie avec des croûtons

    Petite entrée de scampis  à la crème d’ail  persillée

    Menu de gourmet, dinde rôtie et champignons des bois

     

    Le meilleur reste à venir car le dessert sera à s’en lécher les babines

    Et oui, on ne peut échapper à la bûche à la crème fourrée au café praliné

    Tous ensembles nous trinquerons au champagne

    Sauf les petits enfants  car pour eux pas d’alcool, la limonade ou jus d’orange sera amplement suffisant

     

    Les heures s’écoulent doucement, les yeux fixés sur l’horloge

    En attendant, on se raconte des histoires, des souvenirs d’antan

    Les mômes jouent à des jeux de sociétés …

    Mais stop ! Il est minuit, tous s’embrassent se souhaitant  … Joyeux Noël

     

    ©Christiane

     

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    Si l’art était conté
    Je serais poète comme toi tu sais l’être
    Ma plume puiserait dans la source d’inspiration
    De l’amour à la passion avec mes annotations
    J’embellirais ta vie, dans un jardin où fleurissent de jolies poésies

     

    Si l’art était conté
    Je te sculpterais le corps de mon imagination
    De mes mains je caresserais le galbe de la forme que je te donnerais
    Un apollon ou celui d’un animal ou un petit oiseau qui prend son envol
    Ou un être féérique venu d’ailleurs, tu serais que matière de terre ou de pierre

     

    Si l’art était conté
    Je serais musicienne pour que tu m’écoutes
    Que ce soit à vent ou à percussion l’instrument serait source d’évasion
    Une mélodie sur un piano, une caresse d’amour sur un clavier
    Une vibration de violon te donnant le frisson dans le dos

     

    Si l’art était conté
    Ma mine te dessinerait sur feuille de papiers cartonnés
    Un paysage de rêve sous un ciel azur
    Je prendrais pour en donner encore plus forme
    Des pinceaux et couleurs pour faire de toi le chef d’œuvre de mes tableaux

     

    Si l’art était conté
    Tu te charmerais sur le timbre de ma voix
    D’une chanson faîtes pour toi
    Je te chanterais l’amour comme tu les aimes
    Mes paroles parfois aussi seraient révolutionnaires

     

    Si l’art était conté
    Je serais sur les planches entre la comédie et la danse
    Derrière la caméra entre l’actrice aventurière et romanesque
    Je serais l’étoile d’un ballet fantastique
    Je serais la star des salles pleine de cinéma

     

    Si l’art était conté
    J’évoluerais sur la piste, clown ou équilibriste
    Le rire fuserait sur le visage des enfants
    L’illusion apparaîtrait par magie
    Je serais juste là, moi l’artiste

     

    Si l’art était conté
    Je serais cet ensemble
    Entre chanteur, musicien, comédienne
    Je serais auteur de livres et de films célèbres
    Et ma plume danserait sans jamais me lasser

    ©Christiane

     

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    Même si Bécaud chantait... La solitude ça n’existe pas

    Je peux vous dire aussi que …

    La solitude, tue …

    Le manque d’attention, tue …

    L’indifférence, tue …

    Le silence de ceux qu’on aime, tue …

     

    Demain je ne serais peut-être plus en vie

    Alors si aujourd’hui je t’écris ceci

    C’est ce que tu peux encore me dire , que tu peux encore m'écrire 

    Bonjour, bonsoir, comment vas-tu ?

     Mais Si tu fais partie des égocentrismes, des nombrilismes 

    Alors je te laisse en paix, la mienne viendra bien assez tôt

     

    Même si Bécaud chantait la solitude ça n’existe pas

    Cela c’est ce que tu crois, regarde autour de toi

    Tu ne me parles pas ,Ne t’étonne pas alors !

    Que personne maintenant se soucie de ton sort  

    Quand ton cœur sera trop lourd de solitude

    La mort te sera bien plus belle que de rester dans le réel

     

    Si  depuis mon cœur c’est durcit, que tu  m’as laissé dans l’oubli

    Je partirai avec le chagrin au cœur, au paradis des âmes perdues

    De pars mon vivant tu ne m’as pas dit présent, tu es resté indifférent

    Etendue  dans mon sapin, ne vient pas me voir

    Tes doléances  n’aura aucun sens  devant mes quatre planches en bois

    Pour autant seulement que tu viennes me dire adieu

     

     

    Il n’y a rien de plus douloureux dans l’existence

    De se sentir comme un chien sans collier, abandonné

    De  se sentir rejeté…Pas un signe, Pas un mot, rien que le vide

    A quoi bon d’essayer de communiquer à travers un écran  

    Et toujours à  moi de prendre de  tes nouvelles,

    De  te téléphoner ,puisque pour toi, je ne suis que fantôme

     

    Avons-nous seulement encore une place dans l’estime de quelqu’un

    Où sommes-nous qu’un numéro dans une liste virtuel ?

     

    Lorsque je serais hors de ta vue, retiens bien le numéro que j’étais

    Cela te portera peut-être chance au Lotto

    As-tu encore de la famille et de vrais amis es, des connaissances ?

    Si tu sais chanter, alors n’oublie pas que la solitude

    Elle existe, et que ce n’est pas Bécaud qui l’a fredonne

    Car aujourd’hui je suis là et demain peut-être au paradis

     

    J’écris, j’écris  est-ce un délire ou vraie ce que je dis

    Est-ce vraiment la solitude et personne ne me lis

    Pas un mot, pas un signe je me résigne

    Plus j’avance, je me fais rare et j’écris au hasard

    Je ne joue pas, je ne chante pas, je ne fais pas partie d’un média,

    Juste je suis là, la solitude est devenue une habitude

     

     

    Je ne suis pas sans famille et  je ne m’appelle pas Rémi

    Y ‘a du monde sur la toile,  mais très peu me voit et se dévoile

    Y ‘a ce foutu virus qui nous malmène et nous enferme

    Il voyage et détruit les paumés, les abandonnés, les isolés 

    Il élimine ceux dépendant de la société

    Il me  rend dingue … Stop ! Il est trop tard !

    ©Christiane

     

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