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    Ils  ne sont pas morts,  ils sont là

     

     

    La mort nous surprendra un jour

    La grande faux viendra  nous faire franchir le pas dans l’au-delà

    D’ici -bas pleurent ceux qui ne sont plus là

    Le manque de leurs présences  Souffrances

     

     

    Vivante consolée par nos semblables

    De paroles ressemblant à des paraboles venant des anges

    Écrits sensés nous redonnant un peu de courage

    A affronter le vide de leur toucher,  de leur voix, de leurs visites

     

     

    Et quelques parts ils nous font savoir qu’ils sont bien

    Pour nous apaiser de notre chagrin

    Qu’ils sont nature et force, qu’ils sont la caresse du vent

    La coccinelle et le papillon qui se posent et s’envolent

     

     

    Ils  ne sont pas morts,  ils sont là, dans le regard d’un enfant

    Ils reviennent dans une naissance pour un nouveau départ

    Ils  sont la beauté des fleurs  qui fleurissent dans nos jardins

    Sont l’énergie dans le tronc d’un arbre que tu étreins

     

     

    Apportent la lumière dans ton cœur pour que tu aimes

    Sont le chant des oiseaux pour ton âme devienne sereine

    Ils sont les quatre  saisons pour t’apporter le bonheur

    Qu’il neige, pleuve, ou t’ensoleille, ils sont ressource de ton éveil

     

     

    Ils ne sont plus charnel, mais poussière de l’univers

    Toujours et pour toujours ils viennent déposer leur graine

    Le matin à l’aurore pour une journée nouvelle

    Et la nuit par leur étoile qui scintille dans le ciel

     

     

    Ils ne sont plus là mais ne sont pas mort

    La mort n’est juste qu’un passage à la vie éternel

    Tu ne peux nier que je ne suis pas en toi

    Ressens-tu ma main qui touche ton cœur

     

     

    Mes paroles sont les tiennes

    Ton sourire me réjouit lors des jours de pluies

    Je ne suis pas bien loin, je suis près de toi mais en toi

    Je suis tes yeux, ta bouche qui m’embrasse et je t’enlace

     

     

    Si les souvenirs du passé te hantent de ma présence

    Alors aujourd’hui crées toi de nouvelles joies, un nouvel amour

    Pour l’avenir soit pour toi un renouvellement de moi

    De la tendresse que tu apporteras aux autres, tu auras fait le bon choix

     

    ©Christiane

     

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    Je ne connais qu’un plaisir c’est celui de t’aimer

    De par ta beauté et volupté et ton sourire

    Par tes mains qui sont sur moi

    Qui me désire faisant fondre mes soupirs

     

    Les nuits d’ivresse enveloppée de tes caresses

    Dans un rythme effréné je suis celle qui t’apporte les délices

    Je te chevauche et me cramponne, lentement ta bouche me sillonne

    L’œil s’exorbite, la voilà déjà sur orbite de ma ferme poitrine

     

     

    Quand le feu du démon enflamme mes dessous

    Tes doigts se déchaînent et  secouent mes rêves

    A travers ta bure, j’échauffe ton phallus

    Je  lustre et entretien nos plaisirs câlins

     

     

    Une nuit torride ou deux amants se désirent

    C'est pourtant par amour que j'écris,

    Aucun vice n’est à proscrire  quand il procure autant de plaisirs

    Tous les sens sont en éveils, dans l’ascension de la passion

     

     

    Comme une nymphe t’invite à une nuit blanche

    À t’exalter dans des postures coquines

    A te promener dans les buissons cueillir la rose

    Triomphant à déverser ta semence dans la source profonde

     

     

    Je m’extasie à chaque lecture sensuelle

    Et rougit souvent de mon audace

    Mais le parfum charnel est tel

    Que je me laisse envahir par mes fantasmes et  mes soupirs

     

    ©Christiane

     

           

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    Il m’avait choisie parmi tant d’autres

    Trouvée par hasard sur des écrits, il s’est épris

    Il mit un visage sur blanche page

    Une histoire d’amour pour briser sa solitude

     

     

    Une aubaine, une relation, des sensations

    Il en fit même sa reine l’embellit de je t’aime

    La modelant la nuit au fil de ses envies

    La déshabillant tel ferait un amant

     

     

    Cet amoureux conjuguant le mot lover

    Par des sensations  il se mit à caresser

    La belle princesse et  brisa sa sagesse

    Se laissant séduire Par cette emprise romanesque

     

    Ensemble, quel bel exemple

    Parfois même avec trop d’indécence

    Pris à plaire à lui offrir des vers très érotique

    Pulsions en fusion la laissant rêveuse à frémir

     

     

    Quel beau voyage sur son corps nu

    Sans omettre les détails sur sa trouvaille

    Parti en expédition, palpant ses mamelles

    L’a trouvant la plus belle sur le chemin de ses mains

     

     

    Au domaine de l’amour, rare ceux et celles qui ne deviennent fou

    Il fut fou d’elle de jour comme de nuit

    Dans son univers il l’a suit et s’en réjouit

    La dame de cœur il en ferait son bonheur mais aussi sa peine

     

     

    Deux amants s’aimant justes pour un roman

    Une histoire sans fin, du chat et de la souris

    Parfois pour un Oui ou pour un non

    Chacun se cherchait  par déraison mais surtout par passion

     

     

    Ils apprirent à se connaître mais avec des avis contraire

    Il la convoitait, il aimait la voir renaître

    Oubliant même d’avoir les pieds sur terre

    L’amour est si sauvage et à contrôler que souvent elle nous détruit

     

     

    Quand on essaye de l’emprisonner, il nous rend esclave

    Quand on essaye de le comprendre, il nous laisse perdu et confus

    Je me demande encore maintenant si ce que j’éprouve est amour ou amitié

    Ou si l’amour est concupiscence où l’on veut son propre bien en se souciant du sien

     

     

    Perdue, dans le doute, de mettre en péril mon cœur en déroute

    Avec la peur d’un nouvel échec que cupidon me briserait par une flèche

    Cette incertitude est-il l’aléa de  L’amour, oh oui l’amour me joue des tours

    Perdre la tête  m’exaspère, je tiens à lui et pourtant je m’enfuis

     

     

    Comme une étoile, je suis filante mais aimante

    Je suis née pour aimer, mais ne sais comment aimer

    Je suis une chanson, une saison, une révolution

    Tendre, parfois blessante, énervante, je ne suis pas femme fatale mais pas ta femme.

     

    ©Christiane

     

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    Toi qui me fais voyager dans le jardin d’Eden

    Telles les premières lueurs de soleil, ta douceur m’a sortie du sommeil

    Ta douceur de ton visage, m’emmène dans le plus beau voyage

    La douceur de tes mains qui frôlent ma peau m’a mise en éveil

     

     

    Tu es mes champs de fleurs où se promène l’abeille

    Je prends ton cœur comme l’insecte prend le pollen

    Et sur ton corps nu j’assouvi mes désirs sans retenue

    Tu es le soleil de notre nuit chaude et parfumée

     

     

    Viens au jardin d’Eden

    Ce n’est pas un dilemme

    Moi je t’aime et toi tu sèmes

    Pense s’y quand même

     

     

    Comme une belle fleur sauvage  je prends racine

    Le long de ton bois, je m’y accroche et me hisse

    Avant que tu ne dérives sur les fruits de purs délices

    Tu es le nectar de l’amour, le jus de mes soupirs

     

     

    Jardine donc mon jardin pour que s’ouvre la fleur

    Et toi aussi cultivateur laboure bien si tu veux bien

    La récolte sera bonne où tu sèmeras tu aimeras

    Et si le ver est dans la pomme, pour pas un sou elle murira

     

     

    Viens au jardin d’Eden

    Ce n’est pas un dilemme

    Moi je t’aime et toi tu sèmes

    Pense s’y quand même

     

     

    Ce n’est qu’avec tendresse que l’on caresse

    Avec vigueur que l’on plante que l’on progresse

    Dans le jardin d’une déesse, il n’y a rien qui blesse

    Quand le cœur y trouve son bonheur

     

     

    Si ce n’est pas une ode à la culture

    La graine poétique y à semer quelques rimes

    De l’amour on peut y jardiner et y planter

    Lorsque deux amants y  puissent s’aimer

     

     

    Viens au jardin d’Eden

    Ce n’est pas un dilemme

    Moi je t’aime et toi t’y sème

    Pense s’y quand même

     

    ©Christiane

     

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    Qu’il est doux d’écouter des chansons d’amour

    Une voix qui vous fait vibrer de tout votre être

    Rien de tel qu’Elvis Presley ou tous ces chanteurs de charmes

    Je suis un peu fleur bleue et m’envole dans des sentiments

     

    Romantique moi ? Oui je l’avoue et un peu rêveuse aussi

    Je m’imagine des moments intenses dans les bras d’un bel amant

    Avec des baisers langoureux, juste être là  à ses côtés

    Des papillons dans le cœur dès que j’entends sa voix.

     

    Quelques mèches poivre et sel dans mes cheveux blonds et dans les siens

    Mais avec des  pensées d’adolescente et effervescente

    Toujours vouloir plaire malgré mon âge sexagénaire

    Être souple et légère pour encore aller danser

     

    Oui jeune dans la tête, mais femme tout de même

    À faire des galipettes sur le sofa ou à n’importe quel endroit

    A faire rougir les femmes un peu trop prude

    Et à remplir de désirs et de plaisirs les messieurs parfois trop vicieux

     

    J’aime que l’on me flatte, j’aime l’arôme des fleurs que l’on dépose sur mon cœur

    Toutes ces petites attentions  qui font plaisir à une femme avant qu’elle ne se fane

    J’ai juste besoin d’y croire, à un amour, à une histoire même provisoire

    C’est dans mes rêves que je me libère et que j’espère

     

    Et si ma plume écris, invente, imagine

    Des phrases tendres et  liaisons dangereuses

    Qui parle d’amour, qui fait parfois couler des larmes

    Qui nous fait perdre la tête et nous désarme

     

    C’est pour continuer à vivre ou survivre

    Que Je m’inspire sans trop en dire dans mes moments de délires

    Je me fais un film de romance ou érotique presque véridiques

    Parce que l’amour ne meurt jamais, dans le cœur d’une dame

     

    Non jamais, j’arrêterai de poétiser et d’aimer

    S’exprimer  est ma façon d’exister, de me libérer

    Créer et construire un scénario pourraient paraître idiot

    Qu’importe, pas besoin d’imprésario même si mes mots sont un fiasco

     

    Mon cœur danse, mes mots chantent sur une mélodie

    Sur une chanson que seul moi connais la raison de ma passion

    L’amour n’a pas de saison et chaque jours est une floraison

    D’aimer, de se trouver belle, de se sentir désirer, d’exister

     

    ©Christiane

     

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    Tu es dans mon esprit et toujours dans mon cœur

    Avec ou sans toi je te dirais toujours je t’aime

    Je ne peux m'empêcher de tomber amoureuse

    Lorsque tu me regardes dans les yeux

     

    Ô mon amour je voudrais que tu reviennes

    Tu es comme une mélodie déchaînée rentrée dans ma vie

    Une chanson qui me touche depuis longtemps

    Et le temps passe quoi je fasse, je pense  toujours à toi

     

    Parce que tu es tout pour moi

    Que je ne peux me passer de toi

    Je voudrais chanter ce qu’est le mot aimer

    Comme le jour et la nuit nous réunit d’un amour infini

     

    Des images défilent dans ma tête, je me répète sans cesse

    Quand l'amour-passion n'a plus de raison d'être,
    L'amour-compassion trouve encore  de l'emploi.

    Pour que la poésie rallume et consomme les flammes qui sont encore en moi

     

    Quand, prenant  du plaisir à écrire,
    On  en dit plus et on se sent libre

    Pour décrocher la lune et un sourire

    Faut-il oser pour se faire aimer

     

     

    Tu es dans mon esprit et toujours dans mon cœur

    Avec ou sans toi je te dirais toujours je t’aime

    Je suis une femme amoureuse et heureuse

    Lorsque tu me regardes dans les yeux

     

    Chaque heure et minute je ressens ta présence

    Que tu sois là ou pas

    Il y a ce fluide qui me remue les sens

    De ton amour qui me tend les bras

     

    C’est pour cela que je suis là à  penser toi

    Que dans l’univers les étoiles scintillent

    C’est la puissance de nos je t’aime qui nous relie toi et moi

    C’est notre amour d’ici-bas qui fait sa loi

     

    ©Christiane

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