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Et le vent transporte les je t’aime
Traverse les continents comme un ouragan
Souffle vent comme la tempête
Avec ce temps mon cœur battant
Emportant à coups de rafale
Tous mes sentiments qui vont vers toi
Accalmie est mon amie
Juste encore une petite brise posant sur ta joue la bise
Mon cœur volage m’annonce un heureux présage
Que l’amour sera dorénavant sage
Inutile de me convaincre que l’amour est volage
Je suis trop sincère quand j’aime
Et le vent transportera toujours mes pensées
Que ce soit par les bourrasques de l’automne
Ou par les transports d’Éole du printemps et de l’été
La danse de mon amour viendra comme un tourbillon
Effleurant tes lèvres d’un doux et tendre baiser
Un souffle d’amour de je t’aime
Il existera à jamais ce chant de ce que je ressens
Et le vent te rappellera vers moi
Mon cœur est comme un cheval galopant
Les cheveux au vent, je rêve à nous deux
Pourquoi cela ne serait-ce possible seul tes bras pourront me retenir
Car je suis amoureuse de toi
©Christiane
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Au-delà du temps notre amour sera aussi fort pour toujours
Ce mouvement du sablier qui s’écoule m’a fait comprendre
Qu’il faut apprécier chaque seconde du présent
Souvenirs de toi, souvenir de m’être donnée passionnément
Encore aujourd’hui si tu savais seulement
Ce que je ressens encore vraiment
Que même ton esprit durant mes nuits
Me hante dans mes rêves les plus fous
Il n’y a pas un jour où je vois ta lumière
Elle brille et me réchauffe comme sur moi tu posais ta main
Je ne veux pas tourner le dos à mon passé
Je t’ai vraiment trop aimé et désiré
Je me force à me dire que c’est terminé
Je dois te laisser partir, mais comment se fait-il que je sois toujours là à t’écrire
Je sais que c’est fini en regardant le soleil qui se lève sur la terre
Mais tu es toujours présent dans mon cœur
Il y a toujours mon amour
Ton regard qui me fixe
Le magnétisme de tes mains sur moi
Et c’est plus fort que le temps n’efface jamais rien
Doucement amour je ne peux t’atteindre
Je sais qu’il n’y aura jamais un retour
Chéri juste le temps de mes souvenirs
Me reste encore ton baiser langoureux sur mes lèvres
Moment du passé, moment du présent
Tout me ramène à toi, mais ta chair n’est plus là
Juste ton fantôme qui me poursuit dans ma vie
En ta mémoire j’essaye de survivre et t’offre mon sourire
©Christiane
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Un joli papillon
A la croisée de mon chemin
Nos destins se sont rencontrés
Un joli papillon m'a enivré sur lequel je me suis penchée
Sur tes couleurs azur et argenté, beau Spécimen
Ma raison, bénie soit elle, s'est arrêtée.
Préférant te contempler, je t’ai accepté comme tel
Par ton éclat par ta douceur
A cette heure, je suis toujours là
et tes ailes se déploient autour de moi
Mon parfum exalte ton nez.Sur ma main tu t’es posé
Tu frémis à ma caresse
Je gémis quand tu effleures mon cœurTu m’as choisi comme la plus belle des fleurs
La valse de ton amour me remplit de bonheur
Tu es là radieux sous le soleil
Tournoyant autour de ma corolle
Tu m’émerveilles de jour en jour
Me laissant un bisou sur la joue
Je suis la rose aux pétales qui perlent dès l’aurore
N’as-tu pas peur de te blesser mon cher volatile
Car parfois l’amour est épineux
Mais je voudrais te rendre heureux
Ma main est si douce au vent des saisons
Que tu oses t’aventurer ce que tu dis aimer.
La nature des sentiments parfois meurent
Et refleurit aux printemps
© Christiane
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Habillée d’une robe couleur ébène
Elle chante sa vie et ses amours
Piaf déploie ses ailes en montant sur la scène
Projecteurs l’éclaire et son publique qu’elle aime
Plus bleu que le bleu de tes yeux
De quel homme parle-t-elle
Un amour si pur au couleur d’azur
C’est le soleil au zénith dans un ciel estival
Toi la petite môme à la voix d’or
Tout Paris est à tes pieds
Pour te voir chanter
Ils adorent t’écouter
De tous les hommes que tu as aimés
Tu as gardé des chansons sans regrets
Non tu ne regrettes rien, tu les as aimés
Et certains hélas t’ont fait pleurer
Toi Edith la grande star
Internationale tu es admirable et formidable
Ta vie ne t’a pas épargné trop de souffrances t’ont accompagné,
Mais tu n’as pas arrêté de chanté
De la vie en rose à l’hymne à l’amour
La foule t’acclame dans les rues de Paname
Où l’accordéoniste joue de la Java
La musique, la chanson elle l’a dans la peau
C’est l’amour qui fait rêver disais-tu
C’est l’amour oui toujours l’amour
C’est l’amour qui rend amoureux et malheureux
Inspiratrice ,les poètes reprennent ta plume
Tu en as fait des duos
Même avec ton cher Théo Sarapo
De Jacques Pills à Eddie Constantine
Des compagnons de la chanson à Charles Dumont
A quoi ça sert l’amour, cela se chante toujours
De tous tes amours, de tous tes amants
Viendra le moment, l’ultime instant
De chanter pour Cerdan et pour tous ceux qui t’ont aimé pourtant
Tu t’es adressé à Mon dieu
Pour les garder à toi ces amoureux
Un jour, deux jours, huit jours
Ils sont tous parti un jour sans un adieu
Merci toi la Môme des faubourgs
Merci de nous avoir donné de l’amour
Le rêve et l’amour en tête toujours
Tu as chanté, tu as aimé dans notre cœur tu es restée
©Christiane
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