-
Solitude
Une bien étrange attitude lorsque tu me manques
Tu es quelque part où je ne peux t’atteindre
Tu te plais trop bien quand je suis loin
Tu aimais avant le virtuel,
Mais ton corps aime tellement le réel
Tu es en ce moment au septième ciel
Ce soir je suis triste
J’écoute toujours la même musique
Accompagnée d’une chanson d’amour
Pour bien transpercer mon cœur
Mes larmes coulent de désespoir
Tu es dans ma tête, partout et nulle part
Une étrange sensation ou alors une pulsion
Sûrement un sentiment remplit d’illusion
Est-ce cette période estivale
Qui ravive trop de souvenirs
Ou je ne peux plus aller en cavale
Et de la monotonie d’une vie sans escale
Ce soir je suis triste
Et voilà que la solitude s’installe
J’ai trop imaginé que tu m’aimais
Mais c’est seulement tes envies et tes désirs
Qui te guidaient et de moi tu te lassais
Comment ai-je pu croire un seul instant...
À ta tendresse et compliments,
Pour toi l’amour ne fut qu’un jeu
Avec ton plaisir à me faire jouir
J’en souffre encore et toi tu dors
Avec en image caressant un autre corps
C’est en mon âme que j’ai eu tort à en avoir des remords
Ce soir c’est la solitude et je suis triste
Tu es le ciel du sud et moi, je suis la terre du nord
Je me réfugie dans mes rimes
Afin de ne plus commettre les mêmes erreurs
Il est grand temps que je m’arrête
Et d’essayer d’aller dormir peut-être
©Christiane
1 commentaire -
Sous mon œil de Lynx
J’épie et débusque les impuretés de ce qui m’entoure
Je suis cet animal qui traqué de par ma bonté
Je me fais encore exploiter et manipuler
Je le sais, je me sens torturé
Sous mon œil de Lynx
Je suis seule dans cette jungle de rapaces
Ou je n’ai pas ma place
On me suit à la trace profitant de ma race
De mon élan j’attaque sur tous les plans
Et je fais mon bilan
Sous mon œil de Lynx
Je vois arriver les gens sur la ligne du temps
Tant qu’il y a à prendre, profitez s’en
Avant que n’arrive la tempête
Apprivoisée par le chant de mon maître
Mes griffes sont encore longues
Mais pas pour longtemps
Sous mon œil de Lynx
Je reste encore sauvage Malgré mon grand âge
Je ne Suis pas encore en cage, je connais encore la liberté
Le moyen de m’exprimer et de faire tout basculer
De mon côté câline, Féline je sors encore mes griffes
Soyez attentif de ne jamais me blessé.
Sous mon œil de Lynx
Je vis ou survis, en me forgeant une carapace
Caresse mon dos et tu sentiras la trace de cette blessure
D’un animal, rejeté par ces chasseurs appelé prédateurs
Car leur seul objectif c’est un trophée qu’ils auront gagné
Il est maintenant trop tard,
Je suis sur la route du grand départ
L’œil de Lynx, vous dit adieu
Restera une poussière dans l’univers des dieux
Juste brillera une étoile quand tu lèveras les yeux
©Christiane
votre commentaire -
La houle des flots qui transporte ton bateau
Le vent s’engouffre dans la toile
Ohé matelot tire donc la voile
Garde bien pieds sur le pont de ton voilier
Si le ciel se couvre
Je suis la vague qui s’échoue sur la plage
Un gout salé déposé sur tes lèvres
Tu t’abreuves comme un animal blessé
Tu n’as jamais su aimer.
Mais entends-tu mon cri d’amour
Comme le chant d’une sirène
Qui apaisera ton âme en peine.
Je suis à toi, je suis à toi
Emprisonné dans tes bras
Je ne vivrai que pour toi
Mon cœur a chaviré
Mon corps t’a aimé
On c’est tout simplement enlacé
Se promettant de jamais s’oublier
©Christiane
votre commentaire -
Paris j’arrive avec comme bagage mes valises
Chassant mon passé me voilà embarrassé
D’une ville si grande et si belle a visité
Capitale où s’érige notre dame à l’horizon domine le Sacré Cœur
Petite marseillaise que je suis
Me voilà un peu perdue parmi tes artères
De cette ville lumière rien à voir avec ma cannebière
Je suis une fille du sud bien ordinaire qui provient de la mer
Merveilleuse tour Eiffel, si haute elle m’émerveille
Arrêt à la place de Tertre à Montmartre lieu magique où je flâne
Lieux des artistes peintres et musiciens de rues
Un air d’accordéon et plus loin un joueur de violon
Ambiance d’un folklore où je me sens bien
Attablée à l’extérieur d’un petit bistrot
J’y déguste un petit café crème et un croissant
C’est un endroit un peu bohème mais c’est cela que j’aime
Ô Paris me voilà
Emmène-moi dans ton tourbillon
Fais-moi rencontrer le grand amour
Peut-être aujourd’hui sera mon jour
Il paraît que les parisiens sont romantiques, Séduisant et mystérieux
L’œil malicieux et audacieux que j’ai hâte d’une rencontre
Quel bonheur si je succombe
À leurs baisers à la fois tendre et fougueux
Un dîner en amoureux à la lueur de chandelles
Yeux dans les yeux je me sens la plus belle
Bras dessus dessous tu m’emmènes
Un sourire aux lèvres comme la célèbre Joconde
Vers l’arc de triomphe de mon âme vagabonde
Je découvre avec toi tout de Paris
Nuit câline sous les étoiles que mon cœur s’emballe
Paris, Paris que je t’aime Paris
© Christiane
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires