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    Les couleurs de l’amour

     

    C’est la première rose que tu m’as offerte cueillie dans ton jardin

    C’est nos discussions interminables du soir à la lueur du matin

    Ton petit sourire moqueur quand je me trompe dans mes mots

    C’est notre impatience afin de rompre le silence

     

    Les couleurs de l’amour

     

    C’est ton regard si profond qui en dit long

    C’est mon envie de te rejoindre et de traverser l’écran

    C’est mes questions auxquels tu ne veux répondre

    Me faisant douter et me morfondre

     

    Les couleurs de l’amour

     

    C’est ton refus de ma jalousie sur la façon dont tu vis

    Distance infernale qui me laisse à t’attendre sur la toile

    C’est tes excuses quand je t’accuse

    C’est mes colères que tu ne tolères quand tu obtempères

     

     

    Les couleurs de l’amour

     

    C’est mon cœur  qui accélère à ton appel que j’espère

    Ce sont nos taquineries qui finissent par des jeux interdits

    A perdre souffle on s’en sent réjouis

    On se transporte dans nos folies et nos claviers en restent muet

     

     

    Vidéo conférence plus besoin de parler

    Même les muets parlent avec leurs yeux et des gestes

    Laissant juste percevoir un son quand l’amour  surgit

    Je ne dors plus la nuit mais dors le jour

    Pour te retrouver ce soir Ô mon amour

     

     

    Les couleurs de l’amour

     

     

    C’est quand tu me dis je t’aime ma chérie

    Pour encore te plaire dis le moi encore toute la semaine

    Et si un jour domine ma haine, c’est que tu m’auras fait trop de peine

    Mon cœur brisé dès lors je ne saurais le soigner

    C’est alors qu’il sera préférable de tout arrêter

     

     

    Je vivrais de souvenirs de ce qui était nous deux

    Des moments partagés, des écrits et de nos voix

    De mes efforts de me véhiculer  jusqu’à toi

    De cette distance qui nous sépare de gare en gare

    Et de mes larmes lors du retour de t’avoir aimé pour toujours

     

    C’était cela nos couleurs de l’amour, deux drapeaux tricolores

     

    ©Christiane

     

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    J’ose à peine décrire ces moments érotiques

    De peur que certaines  figures s’offusquent de ces fantasmes qui m’enflamment

    Et pourtant je m’active corps et âmes dans ces moments délicieux

    Ô toi mon partenaire je retournerais ciel et terre

    Pour que je sois auprès de toi et toi en moi

     

     

    Je m’invente des figures et des prouesses qui défient la sagesse

    Sous l’agitation de ma main, je suis ta maîtresse et ton sexe se dresse

    Renforçant ce désir qui me fait jouir de plaisir

    J’aime tomber à la renverse et que ton corps me recouvre

    Comme un tourbillon nous nous entremêlons, nous nous retournons

    Laissant pointer mes fruits que tu aimes titiller

     

     

     

    Nous sommes les acrobates du nid d’amour

    Que ce soit pendant la nuit ou même du jour

    Nos corps s’enflamment au rythme infernal de tes reins sur les miens

    Nous nous retenons afin de faire durer ces sensations de la passion

    Nous gémissons sous la chanson  de je t’aime moi non plus

    Jusqu’à l’explosion de mon orgasme de ton dernier élan

     

     

    Assouvie sur ton épaule ma tête se pose

    Caressant encore ton duvet que ton torse m’impose

    J’aime glisser mes doigts sur ton entre jambe, c’est doux et encore humide

    Je suis encore un peu assoiffée et voudrais déjà recommencer

    Mais respectueusement je te laisse reposer de m’avoir tout donné

    A moins qu’en toi ton volcan ne se réveille et fasse jaillir l’ultime  jet au goût de sel

     

    ©Christiane

     

     

     

     

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    Il est l’heure de s’aventurer sur le chemin qu’est le nôtre

    Ne pas attendre et se surprendre dans nos souhaits et nos désirs

    Sortir de nos défendus tant attendus et de se mettre à nu

    Rendez-vous coquin dans un hôtel  et s’approcher d’elle enfin

     

     

    Elle entrouvre la porte et il l’attend impatient

    Debout près de la fenêtre le cœur battant

    Elle s’approche d’un pas élégant le regardant

    Les yeux pétillent retrouvant son amant

     

     

    Habillée d’un chemisier blanc entrouvert

    Laissant apparaître le galbe de ses seins

    Il la dévore des yeux et est heureux

    Il admire d’abord ses beaux yeux bleus

     

     

    Une eau de toilette légère et enivrante développant une approche très excitante

    Il n’a plus qu’une envie c’est d’absorber ses lèvres

    De la toucher et d’envahir son espace, c’est maintenant il y fait face

    Elle entoure ses bras autour de son cou, il l’enlace comme un fou

     

     

     

    Elle laisse glisser ses doigts le long de sa nuque

    Frissons garanti, les sens en effervescence, le rituel commence

    Il n’en peut plus, il l’emmène vers la chambre

    L’a basculant doucement sur le lit, il l’a déshabille

    Ouvrant elle l’espace intime de son partenaire, elle le laisse faire

     

     

     

    Quel chaude nuit qui se prépare dessus  les draps soyeux

    Elle écarte les jambes et le chevauche se frottant contre l’arbre de son désir

    Il l’entraine dans des mouvements faisant vibrer sa branche

    Elle se déhanche à ne plus en finir sur le rythme qu’il  a choisi

     

     

     

    Haletante comme une chienne laissant jaillir de sa fontaine

    La jouissance qu’il lui fait ressentir

    Un côté tigresse pourtant le griffant de tendresse

    Ils s’enchaînent dans  élans de prouesses

     

     

     

    Il l’a prend à plusieurs reprises sans lâcher prise

    La fenêtre ouverte soufflant l’air d’une légère et fraîche brise

    C’est exaltant de faire l’amour avec son amant j’en jouis encore en cet instant

    Viens prend moi encore et encore, doucement et puis plus fort

     

     

     

    Rendez-vous secret ne l’est plus puisque je me suis mise à nu

    La montée au septième ciel a eu un goût de miel

    Je suis ton abeille qui t’a butiné et absorbé le dard

    Mon dieu ce n’était qu’un rêve, la nuit s’achève, ce n’était juste qu’une trêve

     

    ©Christiane

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    Mais quel est donc cet artiste de rues

    Peignant ces fresques historiques et magnifiques

    Tenant son crayon suivit de son pinceau

    Il est le maître de ces lieux dans les ruelles de cette ville

    D’un coup de main il esquisse l’histoire décrit d’un livre

    Passionné  émérite, il laisse sa marque  sur les murs de Laon

     

     

    Me promenant je m’arrête sur son chef d’œuvre ne voyant passer les heures

    Quoi qu’il esquisse, mes yeux s’en réjouissent, que ma ballade jamais ne finisse

    C’est l’architecte d’œuvres d’art, il embellirait même des remparts aux simples trottoirs

    De l’auto portrait, aux paysages, ses coups de traits ressort comme une photo

    Il caresse sa toile de main de maître comme une caresse de son modèle

    Je le vois vêtu comme un corsaire avec son chapeau tricorne

     

     

    Palette en main, il estime le terrain de son dessin

    Donnant vie à ses personnages on se fond sur son ouvrage

    Admiration, contemplation il colore mon imagination

    Pierre  Emilien Grenier l’artisan aux mains d’or est le peintre aux milles trésors

    Pleins  d’audaces il transcrit sur le sol et les façades des animaux et personnages

    D’un vieil homme, à la femme à l’enfant plus vrai que nature je le  décris par mes écritures

     

     

    Amis, amies de la beauté je vous invite à le rencontrer

    Un passage dans sa ville, touristes n’y résistent

    Venez et entrer dans son monde, laisser voyager votre âme vagabonde

    L’art c’est son talent, vous n’y échapperez pas en passant par là

    Même les yeux les plus avertis s’émerveilleront sur ses anamorphoses

    Ne laissez donc pas vos portes closes rencontrez donc ce Laonnois

     

    ©Christiane

     

    Pierre Emilien Grenier artiste peintre

     

      

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